
Alors que l'opération voulait rester discrète, les journalistes du Quotidien ont mis la main sur des documents confirmant la venue d'andains mauriciens, dans le but de terminer le chantier de la NRL.
Ces documents confirment que douze premiers andains ont fait le chemin depuis l'île soeur et ont été dédouanés devant huissier au Port de La Réunion, il y a deux semaines.
Il s'agirait d'un premier échantillon, afin de prouver que ces roches mauriciennes répondent bel et bien au cahier des charges de la NRL et que leur importation serait la solution la moins coûteuse pour poursuivre le chantier.
Ne souhaitant pas susciter la curiosité pour éviter de brusquer les choses, et notamment la Région Réunion ainsi que le groupement Bouygues / Vinci, le partenaire réunionnais de ce groupement d'affaires avec l'Île Maurice préfère garder l'anonymat.
Issues des champs de canne mauriciens, ces roches offrent un bon compromis aux transporteurs et aux agriculteurs. Le ministre de l'agriculture mauricien soutient donc cette démarche. Cependant, à La Réunion, aucune autorité ne déclare être au courant de cette opération.
Le partenaire se justifie en déclarant qu'il s'agit juste d'une solution alternative afin que le chantier de la NRL se poursuive, en attendant l'ouverture d'une carrière. Il déclare également avoir rencontré le Collectif anti-digue, tout en précisant qu'il est désormais trop tard pour opter pour une option tout viaduc. C'est pourquoi, il affirme penser en priorité à l'économie et affirme que cette solution serait la moins coûteuse pour les Réunionnais.
Ces documents confirment que douze premiers andains ont fait le chemin depuis l'île soeur et ont été dédouanés devant huissier au Port de La Réunion, il y a deux semaines.
Il s'agirait d'un premier échantillon, afin de prouver que ces roches mauriciennes répondent bel et bien au cahier des charges de la NRL et que leur importation serait la solution la moins coûteuse pour poursuivre le chantier.
Ne souhaitant pas susciter la curiosité pour éviter de brusquer les choses, et notamment la Région Réunion ainsi que le groupement Bouygues / Vinci, le partenaire réunionnais de ce groupement d'affaires avec l'Île Maurice préfère garder l'anonymat.
Issues des champs de canne mauriciens, ces roches offrent un bon compromis aux transporteurs et aux agriculteurs. Le ministre de l'agriculture mauricien soutient donc cette démarche. Cependant, à La Réunion, aucune autorité ne déclare être au courant de cette opération.
Le partenaire se justifie en déclarant qu'il s'agit juste d'une solution alternative afin que le chantier de la NRL se poursuive, en attendant l'ouverture d'une carrière. Il déclare également avoir rencontré le Collectif anti-digue, tout en précisant qu'il est désormais trop tard pour opter pour une option tout viaduc. C'est pourquoi, il affirme penser en priorité à l'économie et affirme que cette solution serait la moins coûteuse pour les Réunionnais.