Annoncée dans un premier temps ce samedi matin, comme nous l'expliquait encore hier le représentant local du FN, l'arrivée de Marine Le Pen à La Réunion a été décalée. La candidate du Front National devrait commencer sa visite officielle dimanche 27 novembre.
Très peu d’informations ont été communiquées sur le déroulement de son séjour prévu jusqu’à mercredi dans notre île, d'où elle s’envolera pour Mayotte.
Seules certitudes, elle visitera un temple tamoul dans le sud, rencontrera des hommes politiques locaux (sans plus de précisions), et lundi, tenir une conférence de presse dans le nord. Contacté hier, Jean-Claude Otto Bruc, le secrétaire départemental du Front national, indiquait que l’ensemble des représentants de cultes de La Réunion ont été invités à rencontrer la candidate à l'élection présidentielle de 2017. Seul le rendez-vous avec Monseigneur Gilbert Aubry est pour le moment confirmé.
Ce mystère sur les points d’étapes de sa visite est volontairement entretenu par l’organisation du parti mais aussi par le service de protection des personnalités publiques, pour des questions de sécurité. La dernière visite de Marine Le Pen, en février 2012, n’avait pas été de tout repos. Dès son arrivée à l’aéroport, elle avait été accueillie par les huées des opposants au parti.
Très peu d’informations ont été communiquées sur le déroulement de son séjour prévu jusqu’à mercredi dans notre île, d'où elle s’envolera pour Mayotte.
Seules certitudes, elle visitera un temple tamoul dans le sud, rencontrera des hommes politiques locaux (sans plus de précisions), et lundi, tenir une conférence de presse dans le nord. Contacté hier, Jean-Claude Otto Bruc, le secrétaire départemental du Front national, indiquait que l’ensemble des représentants de cultes de La Réunion ont été invités à rencontrer la candidate à l'élection présidentielle de 2017. Seul le rendez-vous avec Monseigneur Gilbert Aubry est pour le moment confirmé.
Ce mystère sur les points d’étapes de sa visite est volontairement entretenu par l’organisation du parti mais aussi par le service de protection des personnalités publiques, pour des questions de sécurité. La dernière visite de Marine Le Pen, en février 2012, n’avait pas été de tout repos. Dès son arrivée à l’aéroport, elle avait été accueillie par les huées des opposants au parti.