Elle s’est opposée à sa majorité municipale sur la question de l’augmentation des indemnités des élus, a finalement quitté son poste de conseillère municipale, mais reste conseillère régionale. Juliana M’Doihoma souhaite devenir la première femme maire de St-Louis. Sa candidature a été annoncée officiellement samedi dans sa permanence de campagne dans le quartier de la Palissade.
"L’heure est venue pour moi de prendre pleinement ma part de responsabilité pour permettre à cette ville de franchir un pas qu'elle n'a jamais osé franchir". Juliana M’Doihoma veut "offrir au territoire une alternative crédible et solide fondée sur le partage des valeurs et la valorisation des compétences".
Pour ce faire, il lui apparaît nécessaire de "se rassembler et se réconcilier au-delà tout clivage partisan". Engagée dans la vie municipale à St-Louis sous Hamilcaro, partie de l'UDI depuis plus de deux ans, la conseillère régionale s'inscrit désormais dans le mouvement sans étiquette. Pour autant, la candidate se pose une seule limite: "Aucune alliance avec les deux anciens maires actuellement en lice ", assure-t-elle alors que Didier Robert a affiché son soutien à l'ancien maire. Une ligne de conduite motivée par "une demande claire des citoyens" qu'elle a pu rencontrer. "Tous refusent de croire que St-Louis est condamnée à être dirigée par des élus condamnés".
Un "travail de terrain" qui dérangerait
Pour convaincre, Juliana M’Doihoma veut travailler à un "projet collectif et participatif", expérimenté à travers les conseils citoyens dans les quartiers prioritaires et le Conseil Consultatif Citoyen de la Région. En juillet dernier, elle a ainsi lancé son mouvement Saint-Louis La Rivière (SLR) dan'Kèr qui a pour objectif de porter les axes forts de son programme en cours de co-construction.
Un " travail de terrain" qui dérangerait...Il y a quelques semaines un tract signé de syndicalistes, publié sur les réseaux sociaux, a dénoncé les conditions dans lesquelles elle serait entrée à la direction du cabinet du président de l’université: Salaire élevé, financement d’une formation en communication stratégique de plus de 6 000 euros par l’établissement. "Ce tract était surtout anonyme et complètement diffamatoire. J’ai d’ailleurs porté plainte en ce sens. Ma carrière professionnelle, je l’ai toujours menée dans le cadre de la réglementation en vigueur, sur la base des concours de la fonction publique dont je suis lauréate et compte tenu désormais de mon expérience professionnelle".
"L’heure est venue pour moi de prendre pleinement ma part de responsabilité pour permettre à cette ville de franchir un pas qu'elle n'a jamais osé franchir". Juliana M’Doihoma veut "offrir au territoire une alternative crédible et solide fondée sur le partage des valeurs et la valorisation des compétences".
Pour ce faire, il lui apparaît nécessaire de "se rassembler et se réconcilier au-delà tout clivage partisan". Engagée dans la vie municipale à St-Louis sous Hamilcaro, partie de l'UDI depuis plus de deux ans, la conseillère régionale s'inscrit désormais dans le mouvement sans étiquette. Pour autant, la candidate se pose une seule limite: "Aucune alliance avec les deux anciens maires actuellement en lice ", assure-t-elle alors que Didier Robert a affiché son soutien à l'ancien maire. Une ligne de conduite motivée par "une demande claire des citoyens" qu'elle a pu rencontrer. "Tous refusent de croire que St-Louis est condamnée à être dirigée par des élus condamnés".
Un "travail de terrain" qui dérangerait
Pour convaincre, Juliana M’Doihoma veut travailler à un "projet collectif et participatif", expérimenté à travers les conseils citoyens dans les quartiers prioritaires et le Conseil Consultatif Citoyen de la Région. En juillet dernier, elle a ainsi lancé son mouvement Saint-Louis La Rivière (SLR) dan'Kèr qui a pour objectif de porter les axes forts de son programme en cours de co-construction.
Un " travail de terrain" qui dérangerait...Il y a quelques semaines un tract signé de syndicalistes, publié sur les réseaux sociaux, a dénoncé les conditions dans lesquelles elle serait entrée à la direction du cabinet du président de l’université: Salaire élevé, financement d’une formation en communication stratégique de plus de 6 000 euros par l’établissement. "Ce tract était surtout anonyme et complètement diffamatoire. J’ai d’ailleurs porté plainte en ce sens. Ma carrière professionnelle, je l’ai toujours menée dans le cadre de la réglementation en vigueur, sur la base des concours de la fonction publique dont je suis lauréate et compte tenu désormais de mon expérience professionnelle".