"On leur dit: attention, s’ils sont élus en face, vous allez tout perdre ! Mon cri c’est: pas du tout, vous avez tout à gagner!" résume Alain Armand, qui compte bien séduire les employés communaux de Saint-Denis.
Selon lui, le personnel communal est en grande souffrance: leur opinion ne serait pas respectée, il subirait une pression énorme de la part des élus pour participer à la campagne dEricka Bareigts: "C’est du chantage à l’emploi, notamment auprès des agents les plus précaires. Les gens ont peur de venir nous voir, ils ne s’affichent pas. C’est la peur qui règne dans la mairie".
Et Alain Armand a l’ambition d’assainir ce qu’il décrit comme une atmosphère de terreur. Pour cela, il présente ce jeudi matin aux côtés de Alain Puelle, 5 mesures qu’il s’engage à appliquer s’il est élu:
1 - Un plan de titularisation pour les agents territoriaux de catégorie C d’abord;
2 - La création d’un véritable régime indemnitaire pour les fonctionnaires: "Un régime existe déjà, mais est illégal comme l’a indiqué le rapport de la CRC, il faut sortir de l’illégalité" précise le candidat.
3 - Passer les contrats PEC (anciennement contrat aidé) de 21 heures à 30 heures, à minima pour un an, "pour un salaire décent équivalent au smic";
4 - Une nouvelle action sociale au sein du personnel avec comme exemple une participation à la mutuelle;
5 - Retrouver la sérénité et le bien-être au sein de la mairie: "je veux que les agents se sentent libres, qu’ils ne subissent pas de pression".
"On ne fera pas tout pour tout le monde tout de suite, tempère le candidat, mais c’est déjà un point de départ. On discutera avec les syndicats pour définir qui doit être titularisé en priorité".
C’est Alain Puelle qui sera chargé de ce dossier concernant les ressources humaines: "Nous réaliserons en premier lieu un audit pour comprendre les besoins de l’appareil communal, et à partir de là on tracera les lignes", explique-t-il.
Selon lui, le personnel communal est en grande souffrance: leur opinion ne serait pas respectée, il subirait une pression énorme de la part des élus pour participer à la campagne dEricka Bareigts: "C’est du chantage à l’emploi, notamment auprès des agents les plus précaires. Les gens ont peur de venir nous voir, ils ne s’affichent pas. C’est la peur qui règne dans la mairie".
Et Alain Armand a l’ambition d’assainir ce qu’il décrit comme une atmosphère de terreur. Pour cela, il présente ce jeudi matin aux côtés de Alain Puelle, 5 mesures qu’il s’engage à appliquer s’il est élu:
1 - Un plan de titularisation pour les agents territoriaux de catégorie C d’abord;
2 - La création d’un véritable régime indemnitaire pour les fonctionnaires: "Un régime existe déjà, mais est illégal comme l’a indiqué le rapport de la CRC, il faut sortir de l’illégalité" précise le candidat.
3 - Passer les contrats PEC (anciennement contrat aidé) de 21 heures à 30 heures, à minima pour un an, "pour un salaire décent équivalent au smic";
4 - Une nouvelle action sociale au sein du personnel avec comme exemple une participation à la mutuelle;
5 - Retrouver la sérénité et le bien-être au sein de la mairie: "je veux que les agents se sentent libres, qu’ils ne subissent pas de pression".
"On ne fera pas tout pour tout le monde tout de suite, tempère le candidat, mais c’est déjà un point de départ. On discutera avec les syndicats pour définir qui doit être titularisé en priorité".
C’est Alain Puelle qui sera chargé de ce dossier concernant les ressources humaines: "Nous réaliserons en premier lieu un audit pour comprendre les besoins de l’appareil communal, et à partir de là on tracera les lignes", explique-t-il.