Plus de trente ans après son père Mario, Jeannot Lebon se verrait bien lui aussi prendre la tête de la mairie de St-Joseph. L’homme de 44 ans, directeur d’une filiale spécialisée dans les nouvelles technologies, est donc tombé dans l’urne électorale quand il était petit. "Je suis un passionné". A 20 ans, il était sur la liste conduite par son père face à Fred K/Bidy qui remporta la mairie sudiste pour la deuxième fois consécutive.
Concentré sur sa carrière professionnelle, Jeannot Lebon n’a pour autant pas "cessé de suivre de très près ce qui a été fait". Aujourd’hui, "son coeur est à gauche et sa poche à droite", précise-t-il. Un positionnement sur l’échiquier politique qui se rapprocherait "philosophiquement " du président Macron, mais "pas politiquement en tout cas". "Il y a l’art et la manière", évoque-t-il. " On ne peut faire du social sans développement économique".
Sans appartenance politique ni étiquette, il se dit "prêt à travailler avec tout le monde et trouver les bonnes synergies qui assureront le développement de St-Joseph". Avant d’officialiser sa candidature, il a ainsi rencontré différents élus de la ville qu’ils soient de l’opposition ou de la majorité dont le maire, Patrick Lebreton. "Des choses ont été faites depuis 20 ans par la même équipe, le même leader, mais nous souhaitons apporter un nouveau souffle à la commune". Autour de lui une vingtaine de personnes "travaillent sur le terrain" car son credo, insiste-t-il, c’est la proximité de quartier.
Le mouvement des Gilets Jaunes a ainsi permis de mettre en lumière la volonté de trouver des solutions pratiques aux problèmes du quotidien. "Des solutions adaptables et réalisables que les entreprises mais aussi les foyers ont" mais qui ne sont pas pas entendues par les élus. "On ne les retrouve pas à l’ordre du jour des conseil municipaux, les élus sûrement pris dans plusieurs mandats", lance l’acteur économique.
Quant à son programme, les grandes lignes sont déjà écrites mais Jeannot Lebon tient à ce qu’il s’inscrive dans "une co-construction avec les forces vives des différents quartiers de la commune".
Concentré sur sa carrière professionnelle, Jeannot Lebon n’a pour autant pas "cessé de suivre de très près ce qui a été fait". Aujourd’hui, "son coeur est à gauche et sa poche à droite", précise-t-il. Un positionnement sur l’échiquier politique qui se rapprocherait "philosophiquement " du président Macron, mais "pas politiquement en tout cas". "Il y a l’art et la manière", évoque-t-il. " On ne peut faire du social sans développement économique".
Sans appartenance politique ni étiquette, il se dit "prêt à travailler avec tout le monde et trouver les bonnes synergies qui assureront le développement de St-Joseph". Avant d’officialiser sa candidature, il a ainsi rencontré différents élus de la ville qu’ils soient de l’opposition ou de la majorité dont le maire, Patrick Lebreton. "Des choses ont été faites depuis 20 ans par la même équipe, le même leader, mais nous souhaitons apporter un nouveau souffle à la commune". Autour de lui une vingtaine de personnes "travaillent sur le terrain" car son credo, insiste-t-il, c’est la proximité de quartier.
Le mouvement des Gilets Jaunes a ainsi permis de mettre en lumière la volonté de trouver des solutions pratiques aux problèmes du quotidien. "Des solutions adaptables et réalisables que les entreprises mais aussi les foyers ont" mais qui ne sont pas pas entendues par les élus. "On ne les retrouve pas à l’ordre du jour des conseil municipaux, les élus sûrement pris dans plusieurs mandats", lance l’acteur économique.
Quant à son programme, les grandes lignes sont déjà écrites mais Jeannot Lebon tient à ce qu’il s’inscrive dans "une co-construction avec les forces vives des différents quartiers de la commune".