Voilà une révélation qui ne manquera pas de créer des vagues. D’après le sénateur démocrate, Harry Reid, Moscou avait œuvré pour l’élection de Donald Trump. Et le patron du FBI, James Corney le savait. Harry Reid pousse même plus loin le bouchon, en ajoutant que James Corney a laissé faire parce qu’il est républicain. Harry Reid croit dur comme fer que la Russie avait interféré pour faire élire Donald Trump à la présidentielle américaine.
« James Corney était bien en connaissance de cette information, mais il n’avait rien divulgué du fait qu’il soit républicain. L’évaluation faite par la CIA peut la prouver. Par conséquent, j’incite tous les acteurs chargés de la sécurité nationale, dont le Sénat, à ouvrir une enquête sur cette affaire » avait lancé M. Reid vendredi soir.
Il convient de noter que le département de la Sécurité intérieure (DHS) et la direction du Renseignement (DNI) avaient déjà établi l’hypothèse selon laquelle la Russie avait procédé à des piratages informatiques durant la présidentielle américaine. 17 agences de renseignement sous la houlette du DHS et de la DNI avaient mené des investigations concernant cette interférence de Moscou.
Pour leur part, le parti républicain et l’équipe du futur 45e président des Etats-Unis avaient rejeté samedi les conclusions de l’évaluation faite par la CIA. Par conséquent, le président Barack Obama avait réclamé un rapport exhaustif sur ces fameux piratages informatiques, avant sa passation avec son successeur à la Maison Blanche le 20 janvier prochain.
« James Corney était bien en connaissance de cette information, mais il n’avait rien divulgué du fait qu’il soit républicain. L’évaluation faite par la CIA peut la prouver. Par conséquent, j’incite tous les acteurs chargés de la sécurité nationale, dont le Sénat, à ouvrir une enquête sur cette affaire » avait lancé M. Reid vendredi soir.
Il convient de noter que le département de la Sécurité intérieure (DHS) et la direction du Renseignement (DNI) avaient déjà établi l’hypothèse selon laquelle la Russie avait procédé à des piratages informatiques durant la présidentielle américaine. 17 agences de renseignement sous la houlette du DHS et de la DNI avaient mené des investigations concernant cette interférence de Moscou.
Pour leur part, le parti républicain et l’équipe du futur 45e président des Etats-Unis avaient rejeté samedi les conclusions de l’évaluation faite par la CIA. Par conséquent, le président Barack Obama avait réclamé un rapport exhaustif sur ces fameux piratages informatiques, avant sa passation avec son successeur à la Maison Blanche le 20 janvier prochain.
