Victime d'une double morsure de requin bouledogue en 2016 alors qu'il surfait à Boucan Canot, à l'intérieur d'un filet anti-requin non opérationnel à cause de la houle, Laurent Chardard vient de participer à une première mondiale : une course à distance avec les meilleurs nageurs valides du monde.
Le Réunionnais est devenu "par accident" un athlète paralympique. Car pour envisager de remonter sur une planche de surf après la tragédie, il a réappris à se mouvoir dans l'eau d'une piscine. Ses entraineurs avaient alors décelé son potentiel jusqu'à son entrée en équipe de France, où il obtient notamment une médaille d'or cette année au championnat d'Europe à Funchal, en 100 mètres dos.
Retranscrit par des faisceaux lumineux
Le 1er août dernier, Laurent Chardard a donc pris place au couloir n°9 aux côtés des huit concurrents valides sur la finale du 50 m nage libre des JO de Tokyo. Sauf que pour la première fois, tandis que les meilleurs nageurs de la planète se sont élancés dans le bassin olympique japonais, le champion de 26 ans a pris part à la course à Paris, à 3h30 du matin.
La course des huit concurrents olympiques a été retranscrite en temps réel grâce à des faisceaux lumineux. Une prouesse sportive et technique réalisée grâce à la marque Lacoste, équipementier officiel de l'équipe de France olympique et paralympique.
Dans une interview accordée à la presse nationale, le surfeur a indiqué ne pas avoir senti qu'il nageait seul. "J'ai trouvé assez extraordinaire le système de faisceaux lasers mis en place pour retranscrire les courses des autres nageurs. J'avais vraiment l'impression d'évoluer à leurs côtés. J'ai pu ressentir cette énergie que seuls les jeux olympiques peuvent dégager".
Le Réunionnais est devenu "par accident" un athlète paralympique. Car pour envisager de remonter sur une planche de surf après la tragédie, il a réappris à se mouvoir dans l'eau d'une piscine. Ses entraineurs avaient alors décelé son potentiel jusqu'à son entrée en équipe de France, où il obtient notamment une médaille d'or cette année au championnat d'Europe à Funchal, en 100 mètres dos.
Retranscrit par des faisceaux lumineux
Le 1er août dernier, Laurent Chardard a donc pris place au couloir n°9 aux côtés des huit concurrents valides sur la finale du 50 m nage libre des JO de Tokyo. Sauf que pour la première fois, tandis que les meilleurs nageurs de la planète se sont élancés dans le bassin olympique japonais, le champion de 26 ans a pris part à la course à Paris, à 3h30 du matin.
La course des huit concurrents olympiques a été retranscrite en temps réel grâce à des faisceaux lumineux. Une prouesse sportive et technique réalisée grâce à la marque Lacoste, équipementier officiel de l'équipe de France olympique et paralympique.
Dans une interview accordée à la presse nationale, le surfeur a indiqué ne pas avoir senti qu'il nageait seul. "J'ai trouvé assez extraordinaire le système de faisceaux lasers mis en place pour retranscrire les courses des autres nageurs. J'avais vraiment l'impression d'évoluer à leurs côtés. J'ai pu ressentir cette énergie que seuls les jeux olympiques peuvent dégager".