
Le maire du Port fait plus que jamais de l'éducation l'une des priorités de sa mandature. Après quelques mois d'expérimentation des activités périscolaires, la ville s'apprête à passer à la phase numéro 2.
Au premier semestre, six écoles "pilotes" avaient inscrit le périscolaire dans le programme des enfants. Ce premier contingent concernait déjà 520 élèves.
Dès cette rentrée de janvier, cinq autres groupes scolaires (Bolon, RN4, ZUP, Satec, centre ville) et une maternelle (ZUP - école P. Kergomard) en bénéficieront à leur tour. 17 écoles (soit 1.003 marmailles) seront alors en phase avec le déploiement des activités périscolaires (sports, culture, activités manuelles,...) telles que préconisées par la réforme Peillon.
Cette seconde phase de déploiement sera accompagnée juste après, en mars, de l'entrée dans le dispositif de tous les établissements (29) que compte la commune pour concerner au final les 5.673 élèves inscrits.
Déploiement progressif au 1er semestre 2015
Cette montée en régime sollicitait déjà "des ressources mairie et des ressources associatives" importantes. Si neuf associations ont déjà joué le jeu "volontairement" dès 2014, se réjouit le maire, l'encadrement, qu'il place au coeur de ses préoccupations, sera conforté par la signature de 120 contrats d'avenir. 60 sont déjà opérationnels pour demain. 60 le seront dans quelques semaines.
A terme, le volet d'accompagnement périscolaire génèrera un volume de 260 emplois, comptabilise le service des affaires scolaires. De quoi rassurer des parents qui ont pu, à la rentrée 2014, s'inquiéter du contenu et du suivi de ces heures en périscolaire.
Des écoles dans des "états pitoyables"
Il faut dire que la phase expérimentale a été validée par les parents, enseignants, élèves, encadrants, sollicités à travers un questionnaire fin 2014. S'il se dit favorable au maintien du jour du samedi pour permettre un jour de repos en milieu de semaine à la marmaille, Olivier Hoarau se dit ouvert - et la loi le permet - à poser à nouveau la question pour la rentrée prochaine si des frémissements se faisaient sentir à ce moment-là.
Autre annonce de cette rentrée des classes : la réhabilitation de la totalité du parc scolaire. Aucune des 29 écoles n'y échappera. Si certaines nécessitent des "interventions lourdes", pour d'autres des menues réparations s'imposent (sanitaires, réfectoire, garde-corps,...). 4 millions d'euros sont inscrits sur la mandature. 700.000 euros y seront puisés pour cette seule année 2015. Il y a urgence à entendre le maire. "Certaines écoles sont dans un état pitoyable, et présentent même certains dangers", adresse en forme de reproche non dissimulé à l'ancienne équipe Olivier Hoarau. Depuis son arrivée, 150.000 euros ont déjà été consacrés à "des petits travaux".
Au premier semestre, six écoles "pilotes" avaient inscrit le périscolaire dans le programme des enfants. Ce premier contingent concernait déjà 520 élèves.
Dès cette rentrée de janvier, cinq autres groupes scolaires (Bolon, RN4, ZUP, Satec, centre ville) et une maternelle (ZUP - école P. Kergomard) en bénéficieront à leur tour. 17 écoles (soit 1.003 marmailles) seront alors en phase avec le déploiement des activités périscolaires (sports, culture, activités manuelles,...) telles que préconisées par la réforme Peillon.
Cette seconde phase de déploiement sera accompagnée juste après, en mars, de l'entrée dans le dispositif de tous les établissements (29) que compte la commune pour concerner au final les 5.673 élèves inscrits.
Déploiement progressif au 1er semestre 2015
Cette montée en régime sollicitait déjà "des ressources mairie et des ressources associatives" importantes. Si neuf associations ont déjà joué le jeu "volontairement" dès 2014, se réjouit le maire, l'encadrement, qu'il place au coeur de ses préoccupations, sera conforté par la signature de 120 contrats d'avenir. 60 sont déjà opérationnels pour demain. 60 le seront dans quelques semaines.
A terme, le volet d'accompagnement périscolaire génèrera un volume de 260 emplois, comptabilise le service des affaires scolaires. De quoi rassurer des parents qui ont pu, à la rentrée 2014, s'inquiéter du contenu et du suivi de ces heures en périscolaire.
Des écoles dans des "états pitoyables"
Il faut dire que la phase expérimentale a été validée par les parents, enseignants, élèves, encadrants, sollicités à travers un questionnaire fin 2014. S'il se dit favorable au maintien du jour du samedi pour permettre un jour de repos en milieu de semaine à la marmaille, Olivier Hoarau se dit ouvert - et la loi le permet - à poser à nouveau la question pour la rentrée prochaine si des frémissements se faisaient sentir à ce moment-là.
Autre annonce de cette rentrée des classes : la réhabilitation de la totalité du parc scolaire. Aucune des 29 écoles n'y échappera. Si certaines nécessitent des "interventions lourdes", pour d'autres des menues réparations s'imposent (sanitaires, réfectoire, garde-corps,...). 4 millions d'euros sont inscrits sur la mandature. 700.000 euros y seront puisés pour cette seule année 2015. Il y a urgence à entendre le maire. "Certaines écoles sont dans un état pitoyable, et présentent même certains dangers", adresse en forme de reproche non dissimulé à l'ancienne équipe Olivier Hoarau. Depuis son arrivée, 150.000 euros ont déjà été consacrés à "des petits travaux".