
Nous vous relations la semaine dernière l’histoire de ce commando monté par un père et ses deux fils pour aller corriger l’amant (indélicat, soit) de l’ex épouse d’un des fils.
Nous avions reconnu qu’ils avaient de quoi l’avoir mauvaise. Car l’ex en question, logeant avec ses enfants en bas âge dans un studio mitoyen de la case où habite son ex époux, n’a rien trouvé de mieux qu’inviter son jeune amant à venir jouer à la bête-à-deux-dos chez elle. Pendant que le mari dort à quelques centimètres de béton de là.
Cette indélicatesse est inqualifiable, soit. Et le jeune amant n’a rien trouvé de mieux qu’accepter, encore plus indéfendable, soit encore.
Mais au lieu de régler la question devant le Juges des affaires familiales, papa et ses fils montent une véritable expédition punitive d’où il ressort que l’amant a été proprement tabassé, ligoté, tandis que le papa, pou taze la guèle la police, demande à son fils cocu de lui cogner la tête afin de faire croire, etc., etc., vous avez compris.
Ce jeudi matin, la famille " vendetta " venait payer sa note. En attendant, nous avisant dans la sale-des-pas-perdus, papa " vendetta " vient vers nous et nous passe d’abord la pommade. Style " vous êtes intelligent… vous savez écrire… ", n’en jetez plus. Après quoi, froidement : " Vous vous faites mousser. Vous ne rendez pas compte de façon objective, voilà ".
On va voir ce qu’on va voir !
Ses fils n’ont rien dit ; c’est lui qui porte la culotte scrogneugneu ! Nous avons compris peu après comment fonctionnait monsieur Claude Bertron : il n’admet jamais avoir tort. Il ne supporte aucune contradiction. On a le droit de le comprendre mais pas de le critiquer, ce que la présidente Flauss saisira tout de suite.
Alors que cette dame lui annonce l’addition (quelques mois de prison avec sursis, plus 300 euros d’amende et 3500 euros de dommages et intérêts à leur victime), il le prend de très haut, vitupère et annonce qu’on va voir ce qu’on va voir.
" Je vais faire éclater toute la vérité ! " Pourquoi ne l’a-t-il pas fait lors de l’audience ?
Heureusement que Me Raffi, selon sa bonne habitude, est venu mettre un peu d’humour dans une audience d’un ennui mortel. S’en prenant aux lenteurs de la Justice (et de l’audience) lors d’une affaire si embrouillée qu’un mâle tangue aurait refusé d’en faire son ordinaire, il a salué malicieusement la presse " qui n’en perd pas une et se régale sur son banc "… alors que nous étions quasiment dans les bras de Morphée. " Une maîtresse de plus ", diront nos détracteurs.
Précisément, à l’intention de ceux qui passent leur temps à dénigrer nos comptes-rendus comme aux messieurs " vendetta " de tout poil, je dirai ceci :
Si vous n’aimez pas mon style, pourquoi vous infliger le pensum, que dis-je, la torture consistant à les lire ? J’ai d’excellents confrères qui opèrent sur d’autres médias et écrivent peut-être plus dans votre vision des choses. Car si vous espérez que je change, voyez ce que je veux dire.
A moins que vous ne soyez comme ces masos qui se tapent le crâne à coups de marteau " parce que c’est bon quand ça s’arrête " ?
Sans rancune, j’espère…
Jules Bénard
Nous avions reconnu qu’ils avaient de quoi l’avoir mauvaise. Car l’ex en question, logeant avec ses enfants en bas âge dans un studio mitoyen de la case où habite son ex époux, n’a rien trouvé de mieux qu’inviter son jeune amant à venir jouer à la bête-à-deux-dos chez elle. Pendant que le mari dort à quelques centimètres de béton de là.
Cette indélicatesse est inqualifiable, soit. Et le jeune amant n’a rien trouvé de mieux qu’accepter, encore plus indéfendable, soit encore.
Mais au lieu de régler la question devant le Juges des affaires familiales, papa et ses fils montent une véritable expédition punitive d’où il ressort que l’amant a été proprement tabassé, ligoté, tandis que le papa, pou taze la guèle la police, demande à son fils cocu de lui cogner la tête afin de faire croire, etc., etc., vous avez compris.
Ce jeudi matin, la famille " vendetta " venait payer sa note. En attendant, nous avisant dans la sale-des-pas-perdus, papa " vendetta " vient vers nous et nous passe d’abord la pommade. Style " vous êtes intelligent… vous savez écrire… ", n’en jetez plus. Après quoi, froidement : " Vous vous faites mousser. Vous ne rendez pas compte de façon objective, voilà ".
On va voir ce qu’on va voir !
Ses fils n’ont rien dit ; c’est lui qui porte la culotte scrogneugneu ! Nous avons compris peu après comment fonctionnait monsieur Claude Bertron : il n’admet jamais avoir tort. Il ne supporte aucune contradiction. On a le droit de le comprendre mais pas de le critiquer, ce que la présidente Flauss saisira tout de suite.
Alors que cette dame lui annonce l’addition (quelques mois de prison avec sursis, plus 300 euros d’amende et 3500 euros de dommages et intérêts à leur victime), il le prend de très haut, vitupère et annonce qu’on va voir ce qu’on va voir.
" Je vais faire éclater toute la vérité ! " Pourquoi ne l’a-t-il pas fait lors de l’audience ?
Heureusement que Me Raffi, selon sa bonne habitude, est venu mettre un peu d’humour dans une audience d’un ennui mortel. S’en prenant aux lenteurs de la Justice (et de l’audience) lors d’une affaire si embrouillée qu’un mâle tangue aurait refusé d’en faire son ordinaire, il a salué malicieusement la presse " qui n’en perd pas une et se régale sur son banc "… alors que nous étions quasiment dans les bras de Morphée. " Une maîtresse de plus ", diront nos détracteurs.
Précisément, à l’intention de ceux qui passent leur temps à dénigrer nos comptes-rendus comme aux messieurs " vendetta " de tout poil, je dirai ceci :
Si vous n’aimez pas mon style, pourquoi vous infliger le pensum, que dis-je, la torture consistant à les lire ? J’ai d’excellents confrères qui opèrent sur d’autres médias et écrivent peut-être plus dans votre vision des choses. Car si vous espérez que je change, voyez ce que je veux dire.
A moins que vous ne soyez comme ces masos qui se tapent le crâne à coups de marteau " parce que c’est bon quand ça s’arrête " ?
Sans rancune, j’espère…
Jules Bénard