
C’est en prose et non en vers que Patrick Savatier, porte-parole, a détaillé le nouveau plan de bataille de Momon papa lé la pour lutter contre la précarité et la misère. “Nous avons présenté au maire notre projet de création d’entreprise”, a indiqué au préalable Patrick Savatier.
“Nous allons développer la lombriculture, c’est-à-dire l’élevage des vers de terre, pour faire à terme du lombricompostage, c’est-à-dire : transformer des déchets verts, ménagers et organiques en compost par l’action des vers de terre”.
Ce compost sera utilisé pour faire du maraîchage. “Les produits de notre agriculture seront distribués aux gens de condition modeste ou précaire. En ce sens, les personnes âgées seront privilégiées”.
La première étape de ce programme se fera sur un terrain de 7.000 mètres carré à Salazie. La deuxième se déroulera à Saint-André, sur une surface d’un hectare, “que la municipalité mettra à notre disposition”.
Ce projet permettra en premier lieu la création de dix contrats aidés, “cinq hommes et cinq femmes. Parmi eux, il y a quelques laissés pour compte de l’ARIQTD” (Association pour l’insertion par la qualification et le travail durable).
“Tous bénéficieront de CDD renouvelables quatre fois, nous espérons qu’à terme, ces contrats se transformeront en CDI. C’est pour cette raison que nous faisons appel à toutes les bonnes volontés pour nous aider, au départ”, a expliqué Patrick Savatier.
Plusieurs partenaires privés ont déjà annoncé leur soutien matériel à ce projet de création d’entreprise inédit …
“Nous allons développer la lombriculture, c’est-à-dire l’élevage des vers de terre, pour faire à terme du lombricompostage, c’est-à-dire : transformer des déchets verts, ménagers et organiques en compost par l’action des vers de terre”.
Ce compost sera utilisé pour faire du maraîchage. “Les produits de notre agriculture seront distribués aux gens de condition modeste ou précaire. En ce sens, les personnes âgées seront privilégiées”.
La première étape de ce programme se fera sur un terrain de 7.000 mètres carré à Salazie. La deuxième se déroulera à Saint-André, sur une surface d’un hectare, “que la municipalité mettra à notre disposition”.
Ce projet permettra en premier lieu la création de dix contrats aidés, “cinq hommes et cinq femmes. Parmi eux, il y a quelques laissés pour compte de l’ARIQTD” (Association pour l’insertion par la qualification et le travail durable).
“Tous bénéficieront de CDD renouvelables quatre fois, nous espérons qu’à terme, ces contrats se transformeront en CDI. C’est pour cette raison que nous faisons appel à toutes les bonnes volontés pour nous aider, au départ”, a expliqué Patrick Savatier.
Plusieurs partenaires privés ont déjà annoncé leur soutien matériel à ce projet de création d’entreprise inédit …