
Suite à la manifestation du SDUCLIAS-FSU devant la mairie de Saint-André ce lundi 24 décembre 2012, la Cirest confirme que les contrats signés des deux agents concernés s’appliquent de la même manière que ceux des autres agents dont les contrats ont également été renouvelés.
La Cirest rappelle qu’à plusieurs reprises, une délégation a été reçue par des élus mandatés par le Président.
Elle rappelle également que la protection fonctionnelle a bien été accordée à la présumée victime :
- La Cirest a conseillé à la présumée victime d’aller porter plainte en date du mardi 9 octobre 2012.
- La collègue du syndicat a été libérée de ses obligations professionnelles pour l’assister dans cette démarche.
- Un avocat spécialisé dans le droit pénal a été mis à disposition de l’agent.
- Afin de ne pas perdre de journées de carence, il a été conseillé à l’agent de demander un arrêt "accident de travail" à son médecin traitant, en lieu et place d’un arrêt maladie classique.
- Il lui a été également conseillé de prendre attache avec un centre médico-psychologique afin de pouvoir obtenir une assistance et une écoute.
Dans l’attente des résultats de l’enquête, une première mesure de séparation des agents concernés a été prise.
La Cirest dénonce une nouvelle fois l’amalgame fait entre cette procédure judiciaire et la procédure de renouvellement de contrat. Elle souligne qu’il ne s’agit pas d’un mouvement collectif des agents de la Cirest.
Aussi s’interroge-t-elle sur les réelles motivations de ceux qui manifestent, qui pour la grande majorité ne travaillent pas à la Cirest.
Enfin, la collectivité informe le public que ses services fonctionnent normalement.
La Cirest rappelle qu’à plusieurs reprises, une délégation a été reçue par des élus mandatés par le Président.
Elle rappelle également que la protection fonctionnelle a bien été accordée à la présumée victime :
- La Cirest a conseillé à la présumée victime d’aller porter plainte en date du mardi 9 octobre 2012.
- La collègue du syndicat a été libérée de ses obligations professionnelles pour l’assister dans cette démarche.
- Un avocat spécialisé dans le droit pénal a été mis à disposition de l’agent.
- Afin de ne pas perdre de journées de carence, il a été conseillé à l’agent de demander un arrêt "accident de travail" à son médecin traitant, en lieu et place d’un arrêt maladie classique.
- Il lui a été également conseillé de prendre attache avec un centre médico-psychologique afin de pouvoir obtenir une assistance et une écoute.
Dans l’attente des résultats de l’enquête, une première mesure de séparation des agents concernés a été prise.
La Cirest dénonce une nouvelle fois l’amalgame fait entre cette procédure judiciaire et la procédure de renouvellement de contrat. Elle souligne qu’il ne s’agit pas d’un mouvement collectif des agents de la Cirest.
Aussi s’interroge-t-elle sur les réelles motivations de ceux qui manifestent, qui pour la grande majorité ne travaillent pas à la Cirest.
Enfin, la collectivité informe le public que ses services fonctionnent normalement.