Les droits de places de Miel Vert 2018 vont augmenter de 20 %. La raison : de nouvelles mesures de sécurité. Cette explication invoquée par la mairie durant une réunion entre des représentants de la collectivité et des organisations professionnelles n’a pas convaincu l’antenne locale du Syndicat des Marchés de France (SMF Réunion). L’emplacement des forains passe, pour exemple, de 74 euros le m2 à 89 euros, celui des camions-bars de 95 à 114 euros le m2.
Faute d'accord entre les deux parties, le syndicat a donc entrepris d’alerter la sous-préfecture de Saint-Pierre et a sollicité un recours hiérarchique des services de l’Etat "pour faire annuler l’application de cette grille tarifaire". Le SMF Réunion a par ailleurs "demandé par courrier recommandé avec accusé de réception, le bilan financier de Miel Vert 2017 et le plan financier de Miel Vert 2018. Non communiqués à ce jour", déplore le syndicat.
Face à cette augmentation, le SMF Réunion entend faire jouer la circulaire ministérielle 78-73 du 8 février 1978 "qui évoque leur 'effet contraire au principe de la liberté du commerce' et leur risque sur 'la vitalité' des entreprises participant aux manifestations commerciales sur le domaine public".
"Nous avons bon espoir que notre demande sera entendue, au nom des petites et moyennes entreprises partenaires de longues date des services de la Mairie pour l'animation de la Ville du Tampon, et des nouveaux partenaires, pleins d'espoirs, à la recherche d'emplacements pour travailler, qu'il convient aussi de soutenir", conclut le syndicat dans un communiqué adressé ce mardi soir.
Faute d'accord entre les deux parties, le syndicat a donc entrepris d’alerter la sous-préfecture de Saint-Pierre et a sollicité un recours hiérarchique des services de l’Etat "pour faire annuler l’application de cette grille tarifaire". Le SMF Réunion a par ailleurs "demandé par courrier recommandé avec accusé de réception, le bilan financier de Miel Vert 2017 et le plan financier de Miel Vert 2018. Non communiqués à ce jour", déplore le syndicat.
Face à cette augmentation, le SMF Réunion entend faire jouer la circulaire ministérielle 78-73 du 8 février 1978 "qui évoque leur 'effet contraire au principe de la liberté du commerce' et leur risque sur 'la vitalité' des entreprises participant aux manifestations commerciales sur le domaine public".
"Nous avons bon espoir que notre demande sera entendue, au nom des petites et moyennes entreprises partenaires de longues date des services de la Mairie pour l'animation de la Ville du Tampon, et des nouveaux partenaires, pleins d'espoirs, à la recherche d'emplacements pour travailler, qu'il convient aussi de soutenir", conclut le syndicat dans un communiqué adressé ce mardi soir.