"C'est une fierté, une grande joie". Michel Vergoz est de nouveau maire de Sainte-Rose depuis hier soir, 14 ans après sa première défaite face à Bruno Mamindy-Pajany.
A 65 ans, le sénateur-maire socialiste a bien l'intention de "remettre la ville sur la voie du développement". Il remercie ce lundi matin la population de Sainte-Rose qui peut être "fière d'avoir su construire la délivrance de la ville".
Ce terme "délivrance" revient sans cesse dans la bouche de Michel Vergoz qui retrouvera ses militants et tous ses proches, cet après-midi, pour un défilé puis un rassemblement sur la "place de la délivrance".
Michel Vergoz vante cette réussite électorale basée sur la "diversité politique", sur "un rassemblement actif" et sur un "front anti-système Mamindy".
Le nouveau maire entend "reprendre le chantier là où nous l'avons laissé en 2001". Et s'adressant à ceux et celles qui n'ont pas voté pour lui, il assure: "Je ne détruirai pas le peu de choses faites par mon prédecesseur. C'est avec l'argent public que cela a été fait, je m'en servirai".
Le sénateur-maire se présente comme "l'avocat de la population, je la sers et je ne me sers pas". Il indique par ailleurs que les électeurs pourront compter sur lui en 2017.
A 65 ans, le sénateur-maire socialiste a bien l'intention de "remettre la ville sur la voie du développement". Il remercie ce lundi matin la population de Sainte-Rose qui peut être "fière d'avoir su construire la délivrance de la ville".
Ce terme "délivrance" revient sans cesse dans la bouche de Michel Vergoz qui retrouvera ses militants et tous ses proches, cet après-midi, pour un défilé puis un rassemblement sur la "place de la délivrance".
Michel Vergoz vante cette réussite électorale basée sur la "diversité politique", sur "un rassemblement actif" et sur un "front anti-système Mamindy".
Le nouveau maire entend "reprendre le chantier là où nous l'avons laissé en 2001". Et s'adressant à ceux et celles qui n'ont pas voté pour lui, il assure: "Je ne détruirai pas le peu de choses faites par mon prédecesseur. C'est avec l'argent public que cela a été fait, je m'en servirai".
Le sénateur-maire se présente comme "l'avocat de la population, je la sers et je ne me sers pas". Il indique par ailleurs que les électeurs pourront compter sur lui en 2017.