
Depuis que je me suis engagé dans la campagne électorale pour la mairie de Saint-Denis en septembre 2012, je n’ai eu qu’un objectif : empêcher la réélection du maire sortant.
Pour parvenir à une telle issue, j’ai toujours déclaré que l’union à droite avant le second tour constituait la seule et unique solution efficace. Les divers articles de presse rédigés à l’issue de mes conférences de presse peuvent en témoigner.
Dépositaire de l’engagement de mes 54 colistiers, de mes militants et surtout de tous les Dionysiens qui ont voté pour moi, je ne pouvais pas me permettre de tout abandonner à l’issue du premier tour des municipales.
Dès lors, deux solutions s’ouvraient à moi :
- Premièrement : soit je continuais seul avec pour conséquence la certitude pour le maire sortant d’être réélu. Dans ce cas, j’aurais été considéré comme le fossoyeur numéro 1 de la droite dionysienne, celui qui avait redonné les clefs de la mairie au maire sortant.
Une posture, quoiqu’on puisse en dire, qui est tout à fait intenable et qui m’empêchait définitivement de continuer à défendre les idées qui sont les miennes pour le développement de Saint-Denis et de La Réunion.
- Deuxièmement, je mettais fin à tout suspens dès l’issue du premier tour en engageant des négociations dans le but de provoquer une véritable union avec René-Paul Victoria.
Au-delà du fait que je suis persuadé que seule l’union du centre et de la droite peut nous apporter les points décisifs pour gagner, cet engagement derrière René-Paul Victoria est la preuve que le respect de la parole donnée est une valeur essentielle, même en politique.
Concrètement, pour cette élection, l’union s’est d’abord réalisée sur nos programmes respectifs. J’ai demandé et obtenu par exemple que le projet de plage et de port au Barachois fasse l’objet d’une nouvelle programmation.
L’union s’est aussi construite sur des responsabilités accordées aux colistiers de ma liste. Après négociations, en cas de victoire, je serai entouré de douze colistiers qui auront un rôle important tant au niveau de la mairie de Saint-Denis que de la Cinor dont le rôle sur le plan économique devient primordial.
Je comprends que certains de mes électeurs aient pu être déçus par mon choix, mais je leur demande de continuer à me faire confiance. La décision que j’ai prise était la seule possible tant sur le plan politique que sur celui de l’éthique, une valeur qui a marqué ma campagne et plus largement tout mon engagement politique.
Pour parvenir à une telle issue, j’ai toujours déclaré que l’union à droite avant le second tour constituait la seule et unique solution efficace. Les divers articles de presse rédigés à l’issue de mes conférences de presse peuvent en témoigner.
Dépositaire de l’engagement de mes 54 colistiers, de mes militants et surtout de tous les Dionysiens qui ont voté pour moi, je ne pouvais pas me permettre de tout abandonner à l’issue du premier tour des municipales.
Dès lors, deux solutions s’ouvraient à moi :
- Premièrement : soit je continuais seul avec pour conséquence la certitude pour le maire sortant d’être réélu. Dans ce cas, j’aurais été considéré comme le fossoyeur numéro 1 de la droite dionysienne, celui qui avait redonné les clefs de la mairie au maire sortant.
Une posture, quoiqu’on puisse en dire, qui est tout à fait intenable et qui m’empêchait définitivement de continuer à défendre les idées qui sont les miennes pour le développement de Saint-Denis et de La Réunion.
- Deuxièmement, je mettais fin à tout suspens dès l’issue du premier tour en engageant des négociations dans le but de provoquer une véritable union avec René-Paul Victoria.
Au-delà du fait que je suis persuadé que seule l’union du centre et de la droite peut nous apporter les points décisifs pour gagner, cet engagement derrière René-Paul Victoria est la preuve que le respect de la parole donnée est une valeur essentielle, même en politique.
Concrètement, pour cette élection, l’union s’est d’abord réalisée sur nos programmes respectifs. J’ai demandé et obtenu par exemple que le projet de plage et de port au Barachois fasse l’objet d’une nouvelle programmation.
L’union s’est aussi construite sur des responsabilités accordées aux colistiers de ma liste. Après négociations, en cas de victoire, je serai entouré de douze colistiers qui auront un rôle important tant au niveau de la mairie de Saint-Denis que de la Cinor dont le rôle sur le plan économique devient primordial.
Je comprends que certains de mes électeurs aient pu être déçus par mon choix, mais je leur demande de continuer à me faire confiance. La décision que j’ai prise était la seule possible tant sur le plan politique que sur celui de l’éthique, une valeur qui a marqué ma campagne et plus largement tout mon engagement politique.