Samuel Paty est l'enseignant qui a été décapité pour avoir projeté les caricatures de Charlie Hebdo lors d'un cours sur la liberté d'expression. Un jeune radicalisé l'avait assassiné devant l'établissement scolaire. De nouveau interrogée par les enquêteurs au début du mois de mars, la collégienne est revenue sur ses déclarations et a avoué avoir menti.
"J'ai menti sur un truc", a-t-elle indiqué. Elle a ensuite expliqué qu'elle n'a jamais assisté au cours de Samuel Paty. Elle avait été exclue du collège en raison de ses absences répétées. Ne voulant pas décevoir son père sur les raisons de son renvoi, elle a préféré mentir.
Elle avait dit à son père que lorsque le professeur avait fait sortir des élèves musulmans de sa classe pour projeter les caricatures, elle avait quitté le cours pour manifester son mécontentement. Son père avait alors dénoncé Samuel Paty sur les réseaux sociaux conduisant à sa vindicte publique puis à son assassinat. Elle indique regretter "ce mensonge". Son père est toujours en détention provisoire.
"J'ai menti sur un truc", a-t-elle indiqué. Elle a ensuite expliqué qu'elle n'a jamais assisté au cours de Samuel Paty. Elle avait été exclue du collège en raison de ses absences répétées. Ne voulant pas décevoir son père sur les raisons de son renvoi, elle a préféré mentir.
Elle avait dit à son père que lorsque le professeur avait fait sortir des élèves musulmans de sa classe pour projeter les caricatures, elle avait quitté le cours pour manifester son mécontentement. Son père avait alors dénoncé Samuel Paty sur les réseaux sociaux conduisant à sa vindicte publique puis à son assassinat. Elle indique regretter "ce mensonge". Son père est toujours en détention provisoire.