A l’intérieur, on retrouvera les fondamentaux du constructeur. La sobriété, voire l’austérité, le dispute à un équipement complet et surtout une finition de très haut de gamme, pas grand-chose à reprocher de ce côté-là. D’autant que le confort est au rendez vous.
Les sièges sont réglables dans tous les sens, électriquement bien entendu, tout comme le volant qui modifiera son positionnement en hauteur et en profondeur, électriquement lui aussi. Une fois bien installé à bord, la boite automatique se fera un plaisir de douceur pour que le conducteur se concentre sur la conduite et non pas sur des passages de vitesses (d’un vulgaire ces boites mécanique…)
Forte de ses 204cv et de son bi-turbo,
Mais cette Classe E révèle bien des surprises avec un volant qui vibre dés que l’auto détecte un franchissement intempestif de ligne continue ou discontinue sans clignotant, des caméras arrières qui permettent de reculer en visionnant au tableau de bord l’espace arrière ou de détecter tout véhicule se trouvant en angle mort lors de dépassement.
A ce moment là, un voyant orange signale une présence arrière, devient rouge en cas de danger avec signal sonore. Ajoutez à cela une reconnaissance de signalétique routière qui s’affiche au tableau de bord et vous aurez un tableau complet de la bête.
Utile de préciser que, au cours de l’essai routier,
Mercedes Classe E disponible en version essence 200 CGI à partir de 184cv en 4 cylindres, à partir de 52 500 euros, V8 de 388cv disponible à partir de 100 000 euros. Version diesel 220 CDI, 4 cylindres de 170cv à partir de 56 600 euros, modèle essayé 250 CDI Blue Efficiency Bi-Turbo de 204cv disponible à partir de 60 200 euros. Une version 350 CDI Bleu Efficiency V6 de 231cv est accessible dés 75 700 euros.