
Chronologiquement, il y a d'abord eu le licenciement de Sulliman Issop, un vieux de la vieille, quelqu'un qui doit avoir 25 ou 30 ans de métier derrière lui. Intégralement effectués au JIR.
Sulliman Issop a apparemment commis une faute grave: sa "proximité" avec une jeune femme mise en cause dans une grosse affaire dans le Sud l'a poussé à rédiger lui même la plainte de la jeune femme... contre son propre journal.
Si les faits sont avérés, son cas est effectivement indéfendable.
Mais, ce que contestent les journalistes, c'est surtout la façon dont a procédé Jean-Louis Rabou pour parvenir à ses fins. Le PDG du JIR est allé dormir dans un hôtel du Sud pour pouvoir débarquer aux aurores, en compagnie d'un huissier, afin de saisir l'ordinateur du journaliste. Sulliman Issop, au regard de son investissement passé, méritait peut-être un autre traitement de la part d'un PDG qui vient d'arriver...
L'autre malaise provient de l'embauche de trois journalistes, en provenance du Quotidien (Jérôme Talpin, David Chassagne et Vincent Boyer), et avec pour au moins l'un d'entre eux, un salaire dit-on supérieur à celui des "anciens".
Pour reprendre les propos d'un journaliste, "le mercato d'été est ouvert"... Les pasionnés de football comprendront.
Les journalistes du JIR n'ont pas manqué de rappeler à Jean-Louis Rabou ses promesses "de ne pas débarquer avec son équipe".
Cela étant, il lui fallait bien pallier les départs notamment de Christian Chardon et de Philippe Le Claire. Et où "faire son marché" sinon chez le concurrent d'en face, chose que ne s'était pas prié de faire Jacques Tillier avant lui.
D'autant que le professionnalisme des journalistes en question ne peut être mis en doute. Jérôme Talpin notamment est sans doute le meilleur fait-diversier actuel sur l'île, et il était normal que le JIR essaie de le débaucher.
Les réponses de Jean-Louis Rabou n'ont cependant pas été totalement convaincantes puis que la tension perdure.
Affaire à suivre, donc...
Sulliman Issop a apparemment commis une faute grave: sa "proximité" avec une jeune femme mise en cause dans une grosse affaire dans le Sud l'a poussé à rédiger lui même la plainte de la jeune femme... contre son propre journal.
Si les faits sont avérés, son cas est effectivement indéfendable.
Mais, ce que contestent les journalistes, c'est surtout la façon dont a procédé Jean-Louis Rabou pour parvenir à ses fins. Le PDG du JIR est allé dormir dans un hôtel du Sud pour pouvoir débarquer aux aurores, en compagnie d'un huissier, afin de saisir l'ordinateur du journaliste. Sulliman Issop, au regard de son investissement passé, méritait peut-être un autre traitement de la part d'un PDG qui vient d'arriver...
L'autre malaise provient de l'embauche de trois journalistes, en provenance du Quotidien (Jérôme Talpin, David Chassagne et Vincent Boyer), et avec pour au moins l'un d'entre eux, un salaire dit-on supérieur à celui des "anciens".
Pour reprendre les propos d'un journaliste, "le mercato d'été est ouvert"... Les pasionnés de football comprendront.
Les journalistes du JIR n'ont pas manqué de rappeler à Jean-Louis Rabou ses promesses "de ne pas débarquer avec son équipe".
Cela étant, il lui fallait bien pallier les départs notamment de Christian Chardon et de Philippe Le Claire. Et où "faire son marché" sinon chez le concurrent d'en face, chose que ne s'était pas prié de faire Jacques Tillier avant lui.
D'autant que le professionnalisme des journalistes en question ne peut être mis en doute. Jérôme Talpin notamment est sans doute le meilleur fait-diversier actuel sur l'île, et il était normal que le JIR essaie de le débaucher.
Les réponses de Jean-Louis Rabou n'ont cependant pas été totalement convaincantes puis que la tension perdure.
Affaire à suivre, donc...