
L'équipe de France s'est inclinée 2-1 contre l'Afrique du Sud dans ce qui aura été son dernier match de la Coupe du monde. Les Bleus n'ont pas réussi à relever la tête malgré les nombreux changements opérés par Raymond Domenech. Deux défaites et un nul, dernier du groupe A, voilà le bilan définitif d'une équipe de France sans âme qui aura surtout fait parler d'elle en dehors du terrain.
Les hommes de Raymond Domenech ont encaissé un but dès la 20ème minute sur corner. Suite a une erreur grossière de Lloris, Khumalo prend le dessus sur Diaby au second poteau et ouvre le score (1-0). A peine cinq minutes plus tard, comme si les Bleus avaient besoin de ça, Yoann Gourcuff se fait expulser suite à un coup de coude. Le Bordelais, déjà "exclu" du groupe par ses coéquipiers, sort de la rencontre comme pour ponctuer une Coupe du monde cauchemardesque. Mphela enfonce ensuite le clou (37e), profitant de la passivité de la défense française (2-0).
La deuxième mi-temps fut insipide. Les Français ont malgré tout sauvé l'honneur grâce à Malouda, entré à la mi-temps, sur un service de Ribéry. Dans l'autre match, l'Uruguay s'est imposé 1-0 et termine en tête du groupe.
"Je souhaite bonne chance à ceux qui arrivent derrière"
C'est désormais le temps du bilan pour l'équipe de France, ridicule sur comme en dehors du terrain durant cette Coupe du monde. Raymond Domenech, qui participait à son dernier match en temps que sélectionneur, s'est exprimé à la fin au micro de TF1. "Je suis déçu et triste comme tout le monde. On a essayé de trouver l'énergie. Cette équipe a un vrai potentiel. Je souhaite bonne chance à mon successeur et à l'équipe de France. J'ai pris beaucoup de plaisir. J'ai aimé cette équipe de France. Il y a une suite, l'équipe de France ne meurt jamais. Les joueurs ont envie de faire quelque chose, je souhaite bonne chance à ceux qui arrivent derrière", a déclaré le sélectionneur.
Journalistes, chroniqueurs, spécialistes, anciens joueurs, la valse des critiques a commencé. Une véritable et globale remise en question est désormais nécessaire pour permettre au nouveau sélectionneur, Laurent Blanc, de travailler dans de bonnes conditions. La tête du président de la fédération, Jean-Pierre Escalettes, est sur le billot. Raymond Domenech quitte, lui, l'équipe de France comme il y est arrivé, avec un palmarès vierge.
Les hommes de Raymond Domenech ont encaissé un but dès la 20ème minute sur corner. Suite a une erreur grossière de Lloris, Khumalo prend le dessus sur Diaby au second poteau et ouvre le score (1-0). A peine cinq minutes plus tard, comme si les Bleus avaient besoin de ça, Yoann Gourcuff se fait expulser suite à un coup de coude. Le Bordelais, déjà "exclu" du groupe par ses coéquipiers, sort de la rencontre comme pour ponctuer une Coupe du monde cauchemardesque. Mphela enfonce ensuite le clou (37e), profitant de la passivité de la défense française (2-0).
La deuxième mi-temps fut insipide. Les Français ont malgré tout sauvé l'honneur grâce à Malouda, entré à la mi-temps, sur un service de Ribéry. Dans l'autre match, l'Uruguay s'est imposé 1-0 et termine en tête du groupe.
"Je souhaite bonne chance à ceux qui arrivent derrière"
C'est désormais le temps du bilan pour l'équipe de France, ridicule sur comme en dehors du terrain durant cette Coupe du monde. Raymond Domenech, qui participait à son dernier match en temps que sélectionneur, s'est exprimé à la fin au micro de TF1. "Je suis déçu et triste comme tout le monde. On a essayé de trouver l'énergie. Cette équipe a un vrai potentiel. Je souhaite bonne chance à mon successeur et à l'équipe de France. J'ai pris beaucoup de plaisir. J'ai aimé cette équipe de France. Il y a une suite, l'équipe de France ne meurt jamais. Les joueurs ont envie de faire quelque chose, je souhaite bonne chance à ceux qui arrivent derrière", a déclaré le sélectionneur.
Journalistes, chroniqueurs, spécialistes, anciens joueurs, la valse des critiques a commencé. Une véritable et globale remise en question est désormais nécessaire pour permettre au nouveau sélectionneur, Laurent Blanc, de travailler dans de bonnes conditions. La tête du président de la fédération, Jean-Pierre Escalettes, est sur le billot. Raymond Domenech quitte, lui, l'équipe de France comme il y est arrivé, avec un palmarès vierge.