
Le virus responsable de la fièvre de la vallée du Rift (FVR) a été découvert pour la première fois il y a environ 80 ans au Kenya.
Au fil du temps, L'Afrique subsaharienne est considérablement touchée, puis l'Egypte en 1977-1978, Madagascar en 1979, avant de gagner la péninsule Arabique en 2000-2001.
Aujourd’hui il est officiellement annoncé que la maladie a été repérée sur le territoire de Mayotte. Selon les experts, le réchauffement climatique serait à l’origine de la propagation du virus.
Les symptômes liés à ce virus ressemblent nettement à ceux du chikungunya: fièvre, douleurs musculaires et articulaires.
Il faut savoir que la contamination résulte principalement des produits animaux, de la consommation de lait cru ou de la présence de gîtes larvaires chez soi.
Pour se prémunir de l’arrivée de ce virus, et éviter des flambées épidémiques observées au Kenya en 2006 et 2007 avant de toucher les Comores, il est important de renforcer la surveillance des échanges de personnes et de bétail entre les îles de la région.
Il faut également, à l’instar de la prévention contre le chikungunya, la dengue et le paludisme, lutter individuellement contre l’installation de gîtes larvaires dans les jardins.
La Réunion est-elle exposée? Sans vouloir dramatiser, il est important d'être vigilant chez nous autant qu'ailleurs car ce virus, à l'instar du chik, s'étend de plus en plus géographiquement.
Au fil du temps, L'Afrique subsaharienne est considérablement touchée, puis l'Egypte en 1977-1978, Madagascar en 1979, avant de gagner la péninsule Arabique en 2000-2001.
Aujourd’hui il est officiellement annoncé que la maladie a été repérée sur le territoire de Mayotte. Selon les experts, le réchauffement climatique serait à l’origine de la propagation du virus.
Les symptômes liés à ce virus ressemblent nettement à ceux du chikungunya: fièvre, douleurs musculaires et articulaires.
Il faut savoir que la contamination résulte principalement des produits animaux, de la consommation de lait cru ou de la présence de gîtes larvaires chez soi.
Pour se prémunir de l’arrivée de ce virus, et éviter des flambées épidémiques observées au Kenya en 2006 et 2007 avant de toucher les Comores, il est important de renforcer la surveillance des échanges de personnes et de bétail entre les îles de la région.
Il faut également, à l’instar de la prévention contre le chikungunya, la dengue et le paludisme, lutter individuellement contre l’installation de gîtes larvaires dans les jardins.
La Réunion est-elle exposée? Sans vouloir dramatiser, il est important d'être vigilant chez nous autant qu'ailleurs car ce virus, à l'instar du chik, s'étend de plus en plus géographiquement.