Alors que trois personnes directement en lien avec les attentats perpétrés à Trèbes et Carcassonne ont été interpellées par les forces de l’ordre, l’une d’elle résidait à Mayotte. Elle serait notamment accusée d’être à l’origine de la radicalisation de Radouane Lakdim, auteur des faits du 23 mars dernier.
L’île aux parfums serait en proie à une certaine radicalisation par le biais de mosquées radicales clandestines. Comme le rapporte la 1ère.francetvinfo.fr, des prédicateurs enverraient leurs lieutenants pour prêcher dans ces mosquées via des bourses obtenues par l’Arabie Saoudite. Ces hommes, qui sont pour la plupart des fichés S, ont réussi à passer entre les mailles de la SDAT et de la DGSI pour s'installer à Mayotte.
Ce fût le cas de Radouane Lakdim qui avait été déclaré au Pôle Emploi de Mayotte du 11 au 31 août 2014, alors qu’il effectuait un séjour éclair dans l’océan Indien. Le djihadiste aurait, pendant son séjour, noué des liens solides et étroits avec des islamistes, dont celui qui vient d’être interpellé dans le cadre des attentats de Trèbes et Carcassonne.
Le mode opératoire consiste à viser principalement des mineurs isolés, qui constituent une cible privilégiée à Mayotte, plus enclin à l’endoctrinement suite à l’abandon de toute structure familiale, leurs parents se trouvant pour la plupart expulsés vers les Comores. Les recruteurs, pour la plupart des prédicateurs salafistes, accueillent ces jeunes, les nourrissent et les hébergent dans leurs mosquées. Ils en profitent ensuite pour leur inculquer l’idéologie salafiste, basée sur le djihad qui est, selon eux, le meilleur moyen d’accéder au paradis.
S’il convient de rester prudent, l’arrestation de cette personne en lien avec les attentats du 23 mars dernier ou Radouane Lakdim avait tué 3 personnes au nom du djihad et de son idéologie laisse à penser que l’île aux parfums pourrait devenir un terrain de recrutement salafiste dans l’océan Indien.
L’île aux parfums serait en proie à une certaine radicalisation par le biais de mosquées radicales clandestines. Comme le rapporte la 1ère.francetvinfo.fr, des prédicateurs enverraient leurs lieutenants pour prêcher dans ces mosquées via des bourses obtenues par l’Arabie Saoudite. Ces hommes, qui sont pour la plupart des fichés S, ont réussi à passer entre les mailles de la SDAT et de la DGSI pour s'installer à Mayotte.
Ce fût le cas de Radouane Lakdim qui avait été déclaré au Pôle Emploi de Mayotte du 11 au 31 août 2014, alors qu’il effectuait un séjour éclair dans l’océan Indien. Le djihadiste aurait, pendant son séjour, noué des liens solides et étroits avec des islamistes, dont celui qui vient d’être interpellé dans le cadre des attentats de Trèbes et Carcassonne.
Le mode opératoire consiste à viser principalement des mineurs isolés, qui constituent une cible privilégiée à Mayotte, plus enclin à l’endoctrinement suite à l’abandon de toute structure familiale, leurs parents se trouvant pour la plupart expulsés vers les Comores. Les recruteurs, pour la plupart des prédicateurs salafistes, accueillent ces jeunes, les nourrissent et les hébergent dans leurs mosquées. Ils en profitent ensuite pour leur inculquer l’idéologie salafiste, basée sur le djihad qui est, selon eux, le meilleur moyen d’accéder au paradis.
S’il convient de rester prudent, l’arrestation de cette personne en lien avec les attentats du 23 mars dernier ou Radouane Lakdim avait tué 3 personnes au nom du djihad et de son idéologie laisse à penser que l’île aux parfums pourrait devenir un terrain de recrutement salafiste dans l’océan Indien.