
Mayotte est une nouvelle fois victime de "troubles à l’ordre public dont le lien avec des phénomènes migratoires incontrôlés ne peut plus être mis en doute". Mais alors qu’il reste le 101e département français, le gouvernement semble être totalement indifférent aux multiples violences qui ont lieu sur le territoire. Mais cette récurrence d’ignorance montre en réalité que l’Etat se place dans une forme de neutralité sans faille dans ce conflit.
Rappelons-le, ce conflit sans nom oppose Mayotte aux autorités comoriennes, qui ne cessent de revendiquer leur souveraineté sur Mayotte. "Si cette posture condamnable de l’Etat français devait perdurer, le président de la République et le gouvernement porteraient la tache honteuse de la trahison de leurs propres compatriotes." indiquent Ré-Unir et Résistance Mahoraise. Ils poursuivent en disant qu’il est "plus que temps de réagir, au nom de l’honneur, du bon sens et de l’intérêt supérieur du pays."
Ils exigent surtout un élan de solidarité envers les compatriotes mahorais de la part des élus de la République et notamment les élus proches géographiquement comme les élus réunionnais. Ils doivent rassembler "les liens humains, économiques et sociaux qui unissent les deux départements français de l'océan Indien. Ils se doivent d’interpeller collectivement le président de la République et le Premier ministre."
Ils demandent le respect mutuel entre Mayotte et les Comores, afin "d’engager une dynamique de co-développement". La France se doit de cesser tout contact avec les Comores "tant que la souveraineté française sur Mayotte ne sera pas reconnue".
Rappelons-le, ce conflit sans nom oppose Mayotte aux autorités comoriennes, qui ne cessent de revendiquer leur souveraineté sur Mayotte. "Si cette posture condamnable de l’Etat français devait perdurer, le président de la République et le gouvernement porteraient la tache honteuse de la trahison de leurs propres compatriotes." indiquent Ré-Unir et Résistance Mahoraise. Ils poursuivent en disant qu’il est "plus que temps de réagir, au nom de l’honneur, du bon sens et de l’intérêt supérieur du pays."
Ils exigent surtout un élan de solidarité envers les compatriotes mahorais de la part des élus de la République et notamment les élus proches géographiquement comme les élus réunionnais. Ils doivent rassembler "les liens humains, économiques et sociaux qui unissent les deux départements français de l'océan Indien. Ils se doivent d’interpeller collectivement le président de la République et le Premier ministre."
Ils demandent le respect mutuel entre Mayotte et les Comores, afin "d’engager une dynamique de co-développement". La France se doit de cesser tout contact avec les Comores "tant que la souveraineté française sur Mayotte ne sera pas reconnue".