La police a interpellé dans la nuit de samedi à dimanche l'un des trois auteurs présumé du vol avec violences ayant conduit à la mort d'un métropolitain vendredi à Mayotte.
Le jeune homme âgé de 16 ans interpellé est déjà connu des services de police et de justice et sera déféré lundi au parquet qui va ouvrir une information judiciaire pour "vol avec violences entraînant la mort". Il risque la réclusion criminelle à perpétuité, précise un communiqué du tribunal de grande instance.
Vendredi, aux alentours de 20h, un homme de 38 ans était décédé de ses blessures suite à une agression à l'arme blanche alors qu'il allait chercher son fils à la sortie d'un cours de judo dans un des quartiers de Mamoudzou.
Mayotte est l'objet de violences diverses depuis une quinzaine de jours à la suite de la grève générale lancée par une intersyndicale pour obtenir l'égalité réelle avec la métropole.
Les syndicalistes ont érigé des barrages sur les principales routes de l'ile, interdisant quasiment tout passage. Dans le même temps, d'autres barrages "sauvages" ont été érigés par des jeunes incontrôlables.
Ce mouvement social a été marqué par de nombreuses violences, notamment contre des automobilistes qui ont vu leurs voitures caillassées. Il est possible qu'il connaisse une issue demain lundi, les délégations de syndicats ayant semblé être ressortis satisfaits de leur rencontre avec différents ministres vendredi à Paris.
Le jeune homme âgé de 16 ans interpellé est déjà connu des services de police et de justice et sera déféré lundi au parquet qui va ouvrir une information judiciaire pour "vol avec violences entraînant la mort". Il risque la réclusion criminelle à perpétuité, précise un communiqué du tribunal de grande instance.
Vendredi, aux alentours de 20h, un homme de 38 ans était décédé de ses blessures suite à une agression à l'arme blanche alors qu'il allait chercher son fils à la sortie d'un cours de judo dans un des quartiers de Mamoudzou.
Mayotte est l'objet de violences diverses depuis une quinzaine de jours à la suite de la grève générale lancée par une intersyndicale pour obtenir l'égalité réelle avec la métropole.
Les syndicalistes ont érigé des barrages sur les principales routes de l'ile, interdisant quasiment tout passage. Dans le même temps, d'autres barrages "sauvages" ont été érigés par des jeunes incontrôlables.
Ce mouvement social a été marqué par de nombreuses violences, notamment contre des automobilistes qui ont vu leurs voitures caillassées. Il est possible qu'il connaisse une issue demain lundi, les délégations de syndicats ayant semblé être ressortis satisfaits de leur rencontre avec différents ministres vendredi à Paris.