L’Etat avait immédiatement communiqué, rappelant que de « telles actions n’accéléreront pas la mise en place d’un nouveau pont et que les habitants de Dzoumogné et du Nord sont les premières victimes de cette action criminelle qui entrave la libre circulation de chacun ».
Par ailleurs, les services de l’État ont précisé être en discussion avec le centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA) pour étudier la venue d’un nouvel ouvrage temporaire en attendant les travaux à venir. Mais ce nouvel ouvrage ne pourra se faire que sous réserve d’aménagements préalables et de délais de routes puis de mises en œuvre.