
Photo Les Nouvelles de Mayotte
Ils sont en tout 120 : 60 gendarmes, 45 policiers de la Direction départementale de la police aux frontières et 15 policiers de la Direction départementale de la sécurité publique. "Un chiffre qui ne cesse d’augmenter d’année en année", a précisé Étienne Guillet, le directeur de cabinet du préfet aux Nouvelles de Mayotte. En effet, cette année, les effectifs de policiers et de gendarmes sont de 1095 alors qu’ils n’étaient que de 600 en 2015, ce qui fait une augmentation de 495 effectifs en 4 ans.
Mercredi, ils ont été officiellement accueillis sur le territoire mahorais. "Le moment n’est pas solennel, mais convivial", a estimé quant à lui le préfet Jean-François Colombet lors du discours d’accueil de ces nouveaux arrivants. Tout en leur souhaitant la bienvenue, il leur a rappelé qu’ils allaient être au front principalement sur deux aspects : la sécurité publique et la lutte contre l’immigration clandestine. "Vous incarnez la politique publique qui doit garantir la qualité de vie et la tranquillité des Mahorais", a-t-il ajouté en affirmant que des efforts notables étaient faits par le gouvernement pour augmenter les effectifs chaque année. Il a également évoqué dans son discours le drame de Sada en affirmant que c’était le signe "d’une crise de notre société et pas uniquement à Mayotte".
Le préfet a indiqué que bien des difficultés attendaient ces nouveaux arrivants, mais qu’ils étaient là justement pour concentrer leur action au service de la population et pour éviter que d’autres drames de ce type ne surviennent. "Mayotte représente la France essentielle, non par sa puissance économique, mais parce qu’il y a sur ce territoire des défis particuliers à relever", a encore insisté le préfet en incitant les nouveaux arrivants à "s’engager pour les Mahorais(es)".
Mercredi, ils ont été officiellement accueillis sur le territoire mahorais. "Le moment n’est pas solennel, mais convivial", a estimé quant à lui le préfet Jean-François Colombet lors du discours d’accueil de ces nouveaux arrivants. Tout en leur souhaitant la bienvenue, il leur a rappelé qu’ils allaient être au front principalement sur deux aspects : la sécurité publique et la lutte contre l’immigration clandestine. "Vous incarnez la politique publique qui doit garantir la qualité de vie et la tranquillité des Mahorais", a-t-il ajouté en affirmant que des efforts notables étaient faits par le gouvernement pour augmenter les effectifs chaque année. Il a également évoqué dans son discours le drame de Sada en affirmant que c’était le signe "d’une crise de notre société et pas uniquement à Mayotte".
Le préfet a indiqué que bien des difficultés attendaient ces nouveaux arrivants, mais qu’ils étaient là justement pour concentrer leur action au service de la population et pour éviter que d’autres drames de ce type ne surviennent. "Mayotte représente la France essentielle, non par sa puissance économique, mais parce qu’il y a sur ce territoire des défis particuliers à relever", a encore insisté le préfet en incitant les nouveaux arrivants à "s’engager pour les Mahorais(es)".