
Photo defimedia.info
Un jeune français de 37 ans, adepte du parapente et en vacances à Maurice depuis une quinzaine de jours, se souviendra longtemps de sa mésaventure de la fin de semaine dernière.
En plein vol au-dessus de Port-Louis, le parapentiste originaire des Alpes se rend compte que les courants d'air en altitude ne lui permettront pas d'arriver à destination, à plusieurs dizaines de kilomètres de là.
Il décide toutefois de survoler la capitale pour admirer la ville vue du ciel durant encore quelques minutes, comme le relate le site defimedia.info.
Les fonctionnaires en faction ont vu un point noir fondre sur ce sanctuaire ultra protégé
Voulant éviter une chute brutale de sa voilure en raison de l'absence de vent porteur après Port-Louis, le jeune homme cible un grand terrain de foot, pour toucher terre prématurément dans l'urgence de la situation. Mais le terrain de foot, dans lequel il se pose sans encombre, est situé à l’intérieur du quartier général de la police mauricienne des Casernes centrales.
Les fonctionnaires en faction ont vu un point noir fondre sur ce sanctuaire ultra protégé et où les entrées sont filtrées. Une arrivée à coup sûr fracassante, qui a mis en branle toutes les forces policières présentes sur site. En quelques secondes, l’alerte est déclenchée et l’intrus venu du ciel rapidement intercepté.
"Vers 11 heures, j'ai décidé de me poser. D’en haut, j’ai remarqué un beau terrain de foot. C'est l'endroit idéal pour atterrir. Ce n'est que quelques secondes avant que je ne touche terre que j'ai réalisé que j'étais au QG de la police", a-t-il affirmé.
Le passionné aguerri à la pratique du parapente dans des conditions extrêmes n'en est pas à son coup d'essai à Maurice. "J’atterris en général dans des champs de canne. Une fois, je me suis retrouvé dans une chasse privée et j'ai dû escalader la clôture pour sortir", précise le trentenaire.
Après avoir consigné une déposition sur les raisons qui l'ont poussé à atterrir au cœur des Casernes centrales, le jeune homme est reparti libre comme l'air vers sa petite auberge, pour étudier au calme de nouveaux plans de vol moins médiatiques.
Source : http://www.indian-ocean-times.com
En plein vol au-dessus de Port-Louis, le parapentiste originaire des Alpes se rend compte que les courants d'air en altitude ne lui permettront pas d'arriver à destination, à plusieurs dizaines de kilomètres de là.
Il décide toutefois de survoler la capitale pour admirer la ville vue du ciel durant encore quelques minutes, comme le relate le site defimedia.info.
Les fonctionnaires en faction ont vu un point noir fondre sur ce sanctuaire ultra protégé
Voulant éviter une chute brutale de sa voilure en raison de l'absence de vent porteur après Port-Louis, le jeune homme cible un grand terrain de foot, pour toucher terre prématurément dans l'urgence de la situation. Mais le terrain de foot, dans lequel il se pose sans encombre, est situé à l’intérieur du quartier général de la police mauricienne des Casernes centrales.
Les fonctionnaires en faction ont vu un point noir fondre sur ce sanctuaire ultra protégé et où les entrées sont filtrées. Une arrivée à coup sûr fracassante, qui a mis en branle toutes les forces policières présentes sur site. En quelques secondes, l’alerte est déclenchée et l’intrus venu du ciel rapidement intercepté.
"Vers 11 heures, j'ai décidé de me poser. D’en haut, j’ai remarqué un beau terrain de foot. C'est l'endroit idéal pour atterrir. Ce n'est que quelques secondes avant que je ne touche terre que j'ai réalisé que j'étais au QG de la police", a-t-il affirmé.
Le passionné aguerri à la pratique du parapente dans des conditions extrêmes n'en est pas à son coup d'essai à Maurice. "J’atterris en général dans des champs de canne. Une fois, je me suis retrouvé dans une chasse privée et j'ai dû escalader la clôture pour sortir", précise le trentenaire.
Après avoir consigné une déposition sur les raisons qui l'ont poussé à atterrir au cœur des Casernes centrales, le jeune homme est reparti libre comme l'air vers sa petite auberge, pour étudier au calme de nouveaux plans de vol moins médiatiques.
Source : http://www.indian-ocean-times.com