
Qui de Daniel Alamélou, Yolande Pausé, Nadine Damour ou d’un(e) candidat(e) de dernière minute, succèdera à Maurice Gironcel, le vendredi 6 février prochain? A huit jours de l’élection, les rumeurs enflent à Sainte-Suzanne, et les paris sont ouverts.
L’hypothèse en vogue ces jours-ci, c’est que Nadine Damour, fille de l’ancien maire, serait la mieux placée pour remplacer son père. Cette information est confortée par une autre information: “Maurice Gironcel va devenir le directeur de cabinet de sa fille”, assure une militante proche de la mairie. En fait, Maurice Gironcel réfléchit effectivement à ce qu’il va faire pendant son année d’inéligibilité.
L’ex-premier vice-président du Conseil général pourrait en effet devenir directeur de cabinet, mais ce ne serait pas forcément à la mairie de Sainte-Suzanne. La Cinor et le Conseil général feraient aussi partie de ses pistes de réflexion.
Deux éléments rendent crédibles cette information. Le premier : Maurice Gironcel vient de perdre tous ses mandats (maire, conseiller général et vice-président de la Cinor) et les indemnités qui vont avec, c’est-à-dire entre 7.500 et 10.000 euros par mois.
Le deuxième : le leader communiste de Sainte-Suzanne prépare déjà son retour aux affaires. Il est vrai que dans cette optique, directeur de cabinet du nouveau maire serait sans doute la meilleure reconversion…
L’hypothèse en vogue ces jours-ci, c’est que Nadine Damour, fille de l’ancien maire, serait la mieux placée pour remplacer son père. Cette information est confortée par une autre information: “Maurice Gironcel va devenir le directeur de cabinet de sa fille”, assure une militante proche de la mairie. En fait, Maurice Gironcel réfléchit effectivement à ce qu’il va faire pendant son année d’inéligibilité.
L’ex-premier vice-président du Conseil général pourrait en effet devenir directeur de cabinet, mais ce ne serait pas forcément à la mairie de Sainte-Suzanne. La Cinor et le Conseil général feraient aussi partie de ses pistes de réflexion.
Deux éléments rendent crédibles cette information. Le premier : Maurice Gironcel vient de perdre tous ses mandats (maire, conseiller général et vice-président de la Cinor) et les indemnités qui vont avec, c’est-à-dire entre 7.500 et 10.000 euros par mois.
Le deuxième : le leader communiste de Sainte-Suzanne prépare déjà son retour aux affaires. Il est vrai que dans cette optique, directeur de cabinet du nouveau maire serait sans doute la meilleure reconversion…