
La crise financière n'épargne pas les grands hôtels de l'Île Maurice... Une cinquantaine de salariés de La Plantation Resort et une trentaine de l'hôtel Ambre en ont fait les frais. Après plus d'une quinzaine d'années de service, pour certains d'entre eux, les employés ont été avertis de cette décision par courrier.
Atma Shanto est mécontent... Selon le négociateur syndical de l'Organisation of Hotel and Catering Workers, le facteur humain a été mis de côté dans ces licenciements économiques.
Sur le site de l'Express de Maurice, celui-ci s'insurge : "95% des petits employés d'hôtel sont endettés et ont un besoin vital de leur emploi...". En réponse à ces licenciements, qu'ils considèrent comme abusifs, les employés ont débrayé les 12 et 13 février derniers et ont exigé la réintégration des personnels, revendication qui n'a pas été satisfaite.
Dans une lettre adressée au Ministre du travail de l'île soeur, Jean-François Chaumière, les syndicats de l'Organisation of Hotel and catering Workers ont fait connaître les inquiétudes des employés des deux hôtels concernés. Pour le moment, aucune réponse ne leur est parvenue.
Pour les deux hôtels du groupe Apavou, c'est le contexte international morose qui a orienté ces décisions. La Plantation Resort met en avant les difficultés résultant de la crise financière pour justifier les licenciements. Du côté de l'hôtel Ambre, ce sont les difficultés économiques qui sont évoquées. Des dispositions afin d'éviter ces licenciements avaient pourtant été prises par les directions de ces deux établissements flanqués de 4 étoiles (La Plantation) et 3 étoiles (Ambre)...
Atma Shanto est mécontent... Selon le négociateur syndical de l'Organisation of Hotel and Catering Workers, le facteur humain a été mis de côté dans ces licenciements économiques.
Sur le site de l'Express de Maurice, celui-ci s'insurge : "95% des petits employés d'hôtel sont endettés et ont un besoin vital de leur emploi...". En réponse à ces licenciements, qu'ils considèrent comme abusifs, les employés ont débrayé les 12 et 13 février derniers et ont exigé la réintégration des personnels, revendication qui n'a pas été satisfaite.
Dans une lettre adressée au Ministre du travail de l'île soeur, Jean-François Chaumière, les syndicats de l'Organisation of Hotel and catering Workers ont fait connaître les inquiétudes des employés des deux hôtels concernés. Pour le moment, aucune réponse ne leur est parvenue.
Pour les deux hôtels du groupe Apavou, c'est le contexte international morose qui a orienté ces décisions. La Plantation Resort met en avant les difficultés résultant de la crise financière pour justifier les licenciements. Du côté de l'hôtel Ambre, ce sont les difficultés économiques qui sont évoquées. Des dispositions afin d'éviter ces licenciements avaient pourtant été prises par les directions de ces deux établissements flanqués de 4 étoiles (La Plantation) et 3 étoiles (Ambre)...