Les organisations déclarent néanmoins rester déterminées. Pour autant, il s’agit d’éviter une nouvelle nuit de violences. Hier, l’intersyndicale s’est, dans un premier temps, entretenue avec les services de la préfecture puis a été reçue par Serge Letchimy, président du conseil exécutif. "Nous allons vers un accord cadre méthodologique fixant l’organisation des discussions autour de la plateforme des revendications des organisations syndicales et professionnelles", a déclaré ce dernier.
La levée des barrages en Martinique a finalement été décidée après deux jours de mobilisation générale, de barrages routiers mais aussi de violences. La nuit de lundi à mardi, a été marquée par des émeutes à Sainte-Thérèse. Des véhicules et des poubelles ont été brûlés. Des tirs à balles réelles auraient également été dirigés vers les forces de l’ordre et les pompiers, sans heureusement faire de blessés.
"Nous avons décidé qu’il valait mieux lever les barrages. Que la situation revienne à la normale et qu’elle ne dégénère pas", a indiqué Bertrand Cambusy, porte-parole de l'intersyndicale sur le plateau de Martinique La 1ère.
Rendez-vous a été donné ce mercredi matin à 4H pour décider de la suite de la mobilisation contre l'obligation vaccinale contre le Covid-19 et pour des revendications salariales notamment, rapporte France-Antilles.
La levée des barrages en Martinique a finalement été décidée après deux jours de mobilisation générale, de barrages routiers mais aussi de violences. La nuit de lundi à mardi, a été marquée par des émeutes à Sainte-Thérèse. Des véhicules et des poubelles ont été brûlés. Des tirs à balles réelles auraient également été dirigés vers les forces de l’ordre et les pompiers, sans heureusement faire de blessés.
"Nous avons décidé qu’il valait mieux lever les barrages. Que la situation revienne à la normale et qu’elle ne dégénère pas", a indiqué Bertrand Cambusy, porte-parole de l'intersyndicale sur le plateau de Martinique La 1ère.
Rendez-vous a été donné ce mercredi matin à 4H pour décider de la suite de la mobilisation contre l'obligation vaccinale contre le Covid-19 et pour des revendications salariales notamment, rapporte France-Antilles.