
On ne la changera pas, notre Martine Aubry nationale...
Lundi, elle a "coincé" François Hollande lors de la passation de pouvoir avec Nicolas Sarkozy, profitant sans doute d'un moment d'inattention de sa chaperonne Valérie Trierweiler, pour lui poser la question sans détours : "Est ce que c'est moi qui serai Premier ministre?"
Ne pouvant plus faire usage de faux-fuyants, François Hollande a bien dû lui avouer que non, et qu'il lui avait préféré Jean-Marc Ayrault.
Grosse colère de la maire de Lille : "Puisque c'est comme ça, je ne veux d'aucun autre ministère, c'était Matignon ou rien", aurait-t-elle déclaré, dans les explications qu'elle a depuis données. Elle a ensuite laissé fuiter qu'elle aurait refusé le "super ministère" qui lui était proposé et regroupant la culture, l'éducation nationale et la jeunesse, et décidant au passage de rester à la tête du PS. Bien sûr, tout cela se faisant officiellement "de façon concertée"...
Bin voyons !
La réalité est moins reluisante pour celle qui ne devrait plus longtemps rester la patronne du PS. Selon RMC, dès qu'elle a appris qu'elle ne serait pas Premier ministre, elle a fait des pieds et des mains pour obtenir un "grand ministère". Mais en face, François Hollande n'était prêt à ne lui laisser qu'un petit strapontin.
Impossible pour celle qui fut n°2 du gouvernement Jospin de subir un tel affront. D'où la fable inventée selon laquelle c'était "Matignon ou rien"...
Lundi, elle a "coincé" François Hollande lors de la passation de pouvoir avec Nicolas Sarkozy, profitant sans doute d'un moment d'inattention de sa chaperonne Valérie Trierweiler, pour lui poser la question sans détours : "Est ce que c'est moi qui serai Premier ministre?"
Ne pouvant plus faire usage de faux-fuyants, François Hollande a bien dû lui avouer que non, et qu'il lui avait préféré Jean-Marc Ayrault.
Grosse colère de la maire de Lille : "Puisque c'est comme ça, je ne veux d'aucun autre ministère, c'était Matignon ou rien", aurait-t-elle déclaré, dans les explications qu'elle a depuis données. Elle a ensuite laissé fuiter qu'elle aurait refusé le "super ministère" qui lui était proposé et regroupant la culture, l'éducation nationale et la jeunesse, et décidant au passage de rester à la tête du PS. Bien sûr, tout cela se faisant officiellement "de façon concertée"...
Bin voyons !
La réalité est moins reluisante pour celle qui ne devrait plus longtemps rester la patronne du PS. Selon RMC, dès qu'elle a appris qu'elle ne serait pas Premier ministre, elle a fait des pieds et des mains pour obtenir un "grand ministère". Mais en face, François Hollande n'était prêt à ne lui laisser qu'un petit strapontin.
Impossible pour celle qui fut n°2 du gouvernement Jospin de subir un tel affront. D'où la fable inventée selon laquelle c'était "Matignon ou rien"...