C’est lors d’une sortie scolaire en 2017 que les premières relations auraient eu lieu. L’enseignante aurait alors été prise en photo dans une situation compromettante.
Des photos que les lycéens utilisent alors pour la faire chanter : ils menacent de divulguer ces clichés si elle ne se soumet pas à leurs désirs. Ils en viennent alors à lui réclamer 7000 euros pour garder le silence sur leurs liaisons, qu’elle payera en plusieurs fois.
La professeure sera jugée fin janvier pour atteintes sexuelles sur mineurs de plus de 15 ans par personne ayant autorité et corruption de mineurs.
Placée sous contrôle judiciaire, elle est suspendue de ses fonctions d’enseignante en attendant la décision de la commission disciplinaire. L’expertise psychologique évoque une absence de « maturité au moment des faits », « elle a agit comme une adolescente », selon son avocat.