"Il y a quelque chose d’assez remarquable de la part du gouvernement, à chaque fois qu’un nouveau texte arrive dans l’hémicycle il est présenté comme une priorité. On arrive à l’adage "qui trop embrasse mal étreint" et le résultat est que ce texte est extrêmement décevant. Ça n’est pas une rupture, ça n’est pas une révolution. On nous dit que c’est un commencement, mais qui commence précisément huit mois avant les présidentielles.
Pourquoi dans ce cas avez-vous pris un certain nombre de décision, notamment économiques, qui ont eu des conséquences dramatiques.
Des accords qui ont mis en péril la filière canne à sucre
Lorsque le gouvernement Français sous l’injonction de Bruxelles a multiplié les accords de libre-échange qui ont mis en péril la filière canne à sucre et ses 40.000 emplois locaux.
Lorsque l’état n’a rien fait quand l’OMC et l’Union européenne ont remis en cause les accords préférentiels de la banane. Voilà par exemple des choses pour lesquelles il aurait fallu se battre et où le gouvernement français a malheureusement laissé faire.
La question de l’immigration à Mayotte
Si vous aimez à ce point les territoires d’Outre-Mer, pourquoi vous occultez totalement la question de l’immigration clandestine ? Pour des raisons idéologiques ? C’es malheureux vous savez que c’est un fléau qui frappe aujourd’hui un certain nombre de nos territoires et qui a des conséquences désastreuses sur le plan social, économique, sur la question du chômage et de l’insécurité.
Non seulement vous ne parlez pas du tout, mais pire que ça, vous allez mettre en place un certain nombre de mesure qui vont créer des incitations supplémentaires à l’immigration clandestine. C’est vrai à Mayotte, puisque vous allez élargir et augmenter les prestations sociales.
Faites en sorte que les Mahorais les obtiennent de façon prioritaire pour ne pas dire exclusive et mettez en place le droit du sang pour éviter tous ces appels incitatifs à l’immigration clandestine.
L’absence de la notion de continuité territoriale
Autre chose qui m’a interpellé, c’est l’absence de la notion de continuité territoriale et surtout autre grand oublié, la question de la puissance maritime. Vous savez que c’est un levier de développement extraordinaire qui n’apparaît absolument pas dans ce texte."
Pourquoi dans ce cas avez-vous pris un certain nombre de décision, notamment économiques, qui ont eu des conséquences dramatiques.
Des accords qui ont mis en péril la filière canne à sucre
Lorsque le gouvernement Français sous l’injonction de Bruxelles a multiplié les accords de libre-échange qui ont mis en péril la filière canne à sucre et ses 40.000 emplois locaux.
Lorsque l’état n’a rien fait quand l’OMC et l’Union européenne ont remis en cause les accords préférentiels de la banane. Voilà par exemple des choses pour lesquelles il aurait fallu se battre et où le gouvernement français a malheureusement laissé faire.
La question de l’immigration à Mayotte
Si vous aimez à ce point les territoires d’Outre-Mer, pourquoi vous occultez totalement la question de l’immigration clandestine ? Pour des raisons idéologiques ? C’es malheureux vous savez que c’est un fléau qui frappe aujourd’hui un certain nombre de nos territoires et qui a des conséquences désastreuses sur le plan social, économique, sur la question du chômage et de l’insécurité.
Non seulement vous ne parlez pas du tout, mais pire que ça, vous allez mettre en place un certain nombre de mesure qui vont créer des incitations supplémentaires à l’immigration clandestine. C’est vrai à Mayotte, puisque vous allez élargir et augmenter les prestations sociales.
Faites en sorte que les Mahorais les obtiennent de façon prioritaire pour ne pas dire exclusive et mettez en place le droit du sang pour éviter tous ces appels incitatifs à l’immigration clandestine.
L’absence de la notion de continuité territoriale
Autre chose qui m’a interpellé, c’est l’absence de la notion de continuité territoriale et surtout autre grand oublié, la question de la puissance maritime. Vous savez que c’est un levier de développement extraordinaire qui n’apparaît absolument pas dans ce texte."