
Dans un entretien accordé au journal suisse Le Temps, la présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, assure que des convergences "existent" entre son parti et la France insoumise de Jean-Luc Mélenchon, notamment sur le référendum d'initiative citoyenne, la nationalisation des autoroutes ou encore l'opposition aux accords de libre-échange. En revanche, elle a affirmé être "aux antipodes" sur les questions liées à l'immigration et au fondamentalisme religieux.
Au cours de cet entretien, l'ancienne finaliste de la présidentielle 2017 a rappelé que son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon ont regroupé pas moins de 40% de l'électorat au premier tour de ce scrutin mais que dans le même temps, les deux partis ne comptaient que 25 députés sur 577 à l'Assemblée nationale.
Alors que Paris et Berlin doivent signer ce mardi un nouveau traité franco-allemand à Aix-la-Chapelle, Marine Le Pen fustige l'exécutif sur cette convergence avec l'Allemagne, qu'elle qualifie "d'abandon de souveraineté", voire de "trahison".
Au cours de cet entretien, l'ancienne finaliste de la présidentielle 2017 a rappelé que son parti et celui de Jean-Luc Mélenchon ont regroupé pas moins de 40% de l'électorat au premier tour de ce scrutin mais que dans le même temps, les deux partis ne comptaient que 25 députés sur 577 à l'Assemblée nationale.
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