Manuel Valls fait marche arrière. Finalement il ne soutient pas le candidat vainqueur de la primaire de la gauche. "Je ne peux pas me retrouver dans ce que je considère comme une dérive".
Hier soir, dans la salle Colbert de l’Assemblée nationale, l’ancien Premier ministre a annoncé qu’il ne parrainerait pas Benoit Hamon mais que pour autant, il n’apportait pas son soutien à Emmanuel Macron. "Je ne parrainerai personne et je n’ai aucune leçon de responsabilité ou de loyauté à recevoir", a-t-il déclaré devant une centaine de parlementaires.
Les désaccords sont profonds. "Hamon veut créer un Podemos", a-t-il expliqué. Ni Hamon, ni Macron, Manuel Valls a indiqué que juste avant le premier tour il fera connaître sa position, indique la presse nationale.
De son côté Benoit Hamon qui dispose déjà des 500 signatures pour se présenter, a indiqué dans le JT de TF1 être "surpris" de cette décision. "En démocratie, le respect de la parole donnée, c’est important".
Hier soir, dans la salle Colbert de l’Assemblée nationale, l’ancien Premier ministre a annoncé qu’il ne parrainerait pas Benoit Hamon mais que pour autant, il n’apportait pas son soutien à Emmanuel Macron. "Je ne parrainerai personne et je n’ai aucune leçon de responsabilité ou de loyauté à recevoir", a-t-il déclaré devant une centaine de parlementaires.
Les désaccords sont profonds. "Hamon veut créer un Podemos", a-t-il expliqué. Ni Hamon, ni Macron, Manuel Valls a indiqué que juste avant le premier tour il fera connaître sa position, indique la presse nationale.
De son côté Benoit Hamon qui dispose déjà des 500 signatures pour se présenter, a indiqué dans le JT de TF1 être "surpris" de cette décision. "En démocratie, le respect de la parole donnée, c’est important".