Les premières sanctions tombent au Parti socialiste, après le soutien de certains hauts responsables à Emmanuel Macron durant la campagne présidentielle. Et le premier visé n’est pas n’importe qui puisque c’est l’ancien Premier ministre, Manuel Valls, qui sera prochainement déféré devant la commission des conflits du PS pour une possible exclusion.
L’annonce a été faite ce mercredi sur Beur FM par le premier secrétaire du parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. "Une procédure est en cours. Manuel Valls est déféré devant la commission des conflits du PS" a déclaré Cambadélis, qui tient tout de même à préciser qu’ "au Parti socialiste, ce n'est pas comme au Front national, En Marche! ou La France insoumise : ce n'est pas le chef qui décide d'exclure, il y a des procédures".
Pour le patron du parti à la rose, on ne peut pas avoir dans le même temps sa carte au Parti socialiste et au mouvement créé par Emmanuel Macron.
Les dernières sorties de Manuel Valls lui ont semble-t-il été préjudiciables. Il avait déclaré ces derniers jours que le PS était un parti "mort" et qu’il souhaitait se présenter lors des prochaines législatives sous l’étiquette En Marche ! dans sa circonscription.
Pour l’ancien chef du gouvernement, c’est un énième camouflet. Devenu maintenant persona non grata au PS, il a vu le porte-parole d’Emmanuel Macron, Benjamin Griveaux lui adresser hier une sorte de fin de non-recevoir sur son intention d’obtenir l’investiture En Marche ! dans l’Essonne. "Il aurait dû déposer sa candidature comme chacun car la règle est la même pour tous. Si vous ne déposez pas votre candidature, vous ne pouvez pas être investi par En Marche! Il lui reste 24 heures", avait-il déclaré.
L’annonce a été faite ce mercredi sur Beur FM par le premier secrétaire du parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis. "Une procédure est en cours. Manuel Valls est déféré devant la commission des conflits du PS" a déclaré Cambadélis, qui tient tout de même à préciser qu’ "au Parti socialiste, ce n'est pas comme au Front national, En Marche! ou La France insoumise : ce n'est pas le chef qui décide d'exclure, il y a des procédures".
Pour le patron du parti à la rose, on ne peut pas avoir dans le même temps sa carte au Parti socialiste et au mouvement créé par Emmanuel Macron.
Les dernières sorties de Manuel Valls lui ont semble-t-il été préjudiciables. Il avait déclaré ces derniers jours que le PS était un parti "mort" et qu’il souhaitait se présenter lors des prochaines législatives sous l’étiquette En Marche ! dans sa circonscription.
Pour l’ancien chef du gouvernement, c’est un énième camouflet. Devenu maintenant persona non grata au PS, il a vu le porte-parole d’Emmanuel Macron, Benjamin Griveaux lui adresser hier une sorte de fin de non-recevoir sur son intention d’obtenir l’investiture En Marche ! dans l’Essonne. "Il aurait dû déposer sa candidature comme chacun car la règle est la même pour tous. Si vous ne déposez pas votre candidature, vous ne pouvez pas être investi par En Marche! Il lui reste 24 heures", avait-il déclaré.