
"Le chômage de masse est un fléau qui frappe notamment les jeunes"
Lors de son déplacement dans la commune socialiste de Saint-Joseph ce jeudi après-midi, le Premier ministre a mis l'accent sur l'emploi local.
Manuel Valls a salué le rôle des entreprises réunionnaises dans la bataille contre le chômage. "Sans les entreprises, il n'y a pas de création de richesse. (...) Bien sûr, il faut des règles (...) mais il faut faire confiance aux entrepreneurs", a indiqué le Premier ministre.
A ses côtés, Patrick Lebreton s'est félicité du "bon signal envoyé par les entreprises" ayant adhéré à la charte pour l'emploi local. Le député-maire socialiste avait été missionné il y a plus de deux ans par le gouvernement pour produire un rapport sur la régionalisation de l'emploi. Un clin d'oeil de l'ancien ministre de l'Intérieur a été envoyé à l'actuel directeur départementale de la sécurité publique (Jean-François Lebon) pour lequel Patrick Lebreton avait poussé la nomination. "Je suis très fier que le DDSP soit Réunionnais", a-t-il dit.
Toujours sur la thématique du "chômage massif" qui touche particulièrement les jeunes, le chef du gouvernement a également annoncé la publication prochaine d'une ordonnance (après habilitation du gouvernement, ndlr) "qui permettra aux acheteurs publics (communes et collectivités, ndlr) de privilégier les entreprises qui favorisent l'emploi des jeunes".
10.000 contrats aidés supplémentaires
Le Premier ministre juge "insupportable le chômage de masse qui frappe 30% de la population, surtout les jeunes". Et d'ajouter : "Au-delà, il y a de vraies réussites comme la volonté affirmée des chefs d'entreprise de s'impliquer".
Manuel Valls a par ailleurs confirmé la mise en place de 10.000 contrats aidés supplémentaires pour le second semestre 2015, ce qui porte à 50.000 l'enveloppe d'emplois aidés alloués à La Réunion. Afin de faire taire les critiques qui entourent ce type de contrats qui ne sont pas considérés par certains comme de vrais emplois, Manuel Valls a commenté : "Je n'oppose pas les contrats aidés aux autres (emplois, ndlr)".
En s'engageant pour l'emploi, le Premier ministre a souhaité délivrer "un message d'espérance"aux côtés des Réunionnais. "C'est l'obligation que nous avons vis-à-vis de la jeunesse réunionnaise", a-t-il ajouté.
Manuel Valls a salué le rôle des entreprises réunionnaises dans la bataille contre le chômage. "Sans les entreprises, il n'y a pas de création de richesse. (...) Bien sûr, il faut des règles (...) mais il faut faire confiance aux entrepreneurs", a indiqué le Premier ministre.
A ses côtés, Patrick Lebreton s'est félicité du "bon signal envoyé par les entreprises" ayant adhéré à la charte pour l'emploi local. Le député-maire socialiste avait été missionné il y a plus de deux ans par le gouvernement pour produire un rapport sur la régionalisation de l'emploi. Un clin d'oeil de l'ancien ministre de l'Intérieur a été envoyé à l'actuel directeur départementale de la sécurité publique (Jean-François Lebon) pour lequel Patrick Lebreton avait poussé la nomination. "Je suis très fier que le DDSP soit Réunionnais", a-t-il dit.
Toujours sur la thématique du "chômage massif" qui touche particulièrement les jeunes, le chef du gouvernement a également annoncé la publication prochaine d'une ordonnance (après habilitation du gouvernement, ndlr) "qui permettra aux acheteurs publics (communes et collectivités, ndlr) de privilégier les entreprises qui favorisent l'emploi des jeunes".
10.000 contrats aidés supplémentaires
Le Premier ministre juge "insupportable le chômage de masse qui frappe 30% de la population, surtout les jeunes". Et d'ajouter : "Au-delà, il y a de vraies réussites comme la volonté affirmée des chefs d'entreprise de s'impliquer".
Manuel Valls a par ailleurs confirmé la mise en place de 10.000 contrats aidés supplémentaires pour le second semestre 2015, ce qui porte à 50.000 l'enveloppe d'emplois aidés alloués à La Réunion. Afin de faire taire les critiques qui entourent ce type de contrats qui ne sont pas considérés par certains comme de vrais emplois, Manuel Valls a commenté : "Je n'oppose pas les contrats aidés aux autres (emplois, ndlr)".
En s'engageant pour l'emploi, le Premier ministre a souhaité délivrer "un message d'espérance"aux côtés des Réunionnais. "C'est l'obligation que nous avons vis-à-vis de la jeunesse réunionnaise", a-t-il ajouté.