Les enseignants du primaire et plus particulièrement de maternelle sont, ce jeudi et vendredi, en grève dans la commune du Tampon avec pour revendiquer l’augmentation du nombre d’ATSEM dans les classes.
Hier, une intersyndicale (SNE-UNSA, CFTC, SAIPER, SNUIPP, CFDT, FO) a été reçue par l’élu délégué aux affaires scolaires, Fred Lauret. Ce dernier lui a réaffirmé qu’une solution a été adoptée "sur le principe l’affectation d’une aide maternelle pour 2 classes de très petite section, de petite section et de moyenne section, et selon le nombre de classe, de réajuster ce nombre à l’entier supérieur à l’exception des classes de grande section".
Jusqu'à présent, 23 agents supplémentaires ont été recrutés. "D’autres contrats seront signés dans les jours qui viennent". Une solution d’un million d’euros a été adoptée en conseil municipal samedi dernier.
"À ce jour, 81 ATSEM sont en poste dans les 163 classes maternelles du Tampon (dont 117 classes de très petite section, petite section et moyenne section), ce qui correspond au doublement des effectifs constatés au jour de la rentrée", précise la mairie qui rappelle que la réglementation ne l’oblige pas à l’affectation d'une ATSEM en permanence dans chaque classe maternelle.
"On comprend la préoccupation des parents et des enseignants. Nous devons travailler ensemble pour obtenir de l'Etat des contrats pour débloquer la situation", a déclaré Fred Lauret.
"Consciente que le nombre d'ATSEM proposé reste en-deçà des attentes des syndicats enseignants", la collectivité, sans augmenter les impôts ou s’endetter, n’entrevoit aucune autre solution à part celle de débloquer des contrats aidés supplémentaires par l’Etat.
La problématique des contrats aidés s’étend au niveau national à l’approche de la rentrée en métropole. Le gouvernement a annoncé recevoir d’ici la fin de la semaine les représentants des collectivités sur la question des contrats aidés.
Hier, une intersyndicale (SNE-UNSA, CFTC, SAIPER, SNUIPP, CFDT, FO) a été reçue par l’élu délégué aux affaires scolaires, Fred Lauret. Ce dernier lui a réaffirmé qu’une solution a été adoptée "sur le principe l’affectation d’une aide maternelle pour 2 classes de très petite section, de petite section et de moyenne section, et selon le nombre de classe, de réajuster ce nombre à l’entier supérieur à l’exception des classes de grande section".
Jusqu'à présent, 23 agents supplémentaires ont été recrutés. "D’autres contrats seront signés dans les jours qui viennent". Une solution d’un million d’euros a été adoptée en conseil municipal samedi dernier.
"À ce jour, 81 ATSEM sont en poste dans les 163 classes maternelles du Tampon (dont 117 classes de très petite section, petite section et moyenne section), ce qui correspond au doublement des effectifs constatés au jour de la rentrée", précise la mairie qui rappelle que la réglementation ne l’oblige pas à l’affectation d'une ATSEM en permanence dans chaque classe maternelle.
"On comprend la préoccupation des parents et des enseignants. Nous devons travailler ensemble pour obtenir de l'Etat des contrats pour débloquer la situation", a déclaré Fred Lauret.
"Consciente que le nombre d'ATSEM proposé reste en-deçà des attentes des syndicats enseignants", la collectivité, sans augmenter les impôts ou s’endetter, n’entrevoit aucune autre solution à part celle de débloquer des contrats aidés supplémentaires par l’Etat.
La problématique des contrats aidés s’étend au niveau national à l’approche de la rentrée en métropole. Le gouvernement a annoncé recevoir d’ici la fin de la semaine les représentants des collectivités sur la question des contrats aidés.