La police dû intervenir pour protéger les militants LGBT menacés de mort par des extrémistes musulmans. Le simple fait que les autorités n’aient pu endiguer ce déchainement d’intolérance est en soi inquiétant et témoigne d’une homophobie persistante partagée, hélas, par plusieurs communautés religieuses.
Nous condamnons fermement cette agression et appelons le gouvernement mauricien à prendre toutes ses responsabilités pour protéger les militants LGBT et à lever notamment l’interdit qui pèse sur l’homosexualité masculine en abrogeant la section 250 du Code Pénal.
Au nom du Bureau d’ EELVR
Jean-Pierre Marchau
Le Secrétaire Régional