A l'occasion de la journée internationale de la fête des travailleurs, une manifestation sera organisée le 1er mai à Saint-Denis avec un défilé entre le petit marché et la préfecture en passant par la rue du Maréchal Leclerc. Encore une fois, emploi et précarité seront au coeur des revendications.
Cette année, à l'appel des organisations syndicales CGTR, FO, FSU, Solidaires, Saiper et UNSA, le mot d'ordre sera : "Un emploi, Un salaire pour vivre dignement".
"Dans une Réunion minée par un chômage massif, notamment chez les jeunes, ce slogan prend tout son sens. Vivre dans la dignité, c'est avoir un travail justement rémunéré, c'est pouvoir loger correctement sa famille, la nourrir, assurer une instruction à ses enfants et aussi consacrer un peu de sa vie aux loisirs. Ce n'est pas trop demander !", annoncent les représentants syndicaux de la CGTR Finances Publiques.
Et de poursuivre: "Mais pour beaucoup c'est encore impossible actuellement alors que d'autres, une minorité, se gavent de dividendes, fruits juteux de leur capital. Au delà des clivages et des divergences, toutes les forces de progrès doivent se rassembler dans cette journée traditionnelle derrière cette revendication et dénoncer les politiques d'austérité dictées par l'Europe et appliquées par les gouvernements successifs en France depuis des années, sans le moindre effet positif pour la population, les salariés, les privés d'emplois, les retraités, les jeunes."
Cette année, à l'appel des organisations syndicales CGTR, FO, FSU, Solidaires, Saiper et UNSA, le mot d'ordre sera : "Un emploi, Un salaire pour vivre dignement".
"Dans une Réunion minée par un chômage massif, notamment chez les jeunes, ce slogan prend tout son sens. Vivre dans la dignité, c'est avoir un travail justement rémunéré, c'est pouvoir loger correctement sa famille, la nourrir, assurer une instruction à ses enfants et aussi consacrer un peu de sa vie aux loisirs. Ce n'est pas trop demander !", annoncent les représentants syndicaux de la CGTR Finances Publiques.
Et de poursuivre: "Mais pour beaucoup c'est encore impossible actuellement alors que d'autres, une minorité, se gavent de dividendes, fruits juteux de leur capital. Au delà des clivages et des divergences, toutes les forces de progrès doivent se rassembler dans cette journée traditionnelle derrière cette revendication et dénoncer les politiques d'austérité dictées par l'Europe et appliquées par les gouvernements successifs en France depuis des années, sans le moindre effet positif pour la population, les salariés, les privés d'emplois, les retraités, les jeunes."