
Une vingtaine de contrats emplois verts a manifesté ce jeudi 20 février devant l'antenne sud de la Région. Les manifestants en sont même venus à bloquer la rue Marius et Ary Leblond du centre-ville pour marquer leur action.
Ces emplois verts, gérés par l'association des Petits Tamponnais des Hauts Ruraux, demandaient des explications à la Région suite au non renouvellement de leurs contrats, 24 sur les 34 que compte l'association.
Sollicitée, la Région éclaircit ce couac administratif qu'elle impute directement à la structure associative.
"Chaque année, avant le 31 décembre, cette association nous envoyait comme toutes les autres associations sollicitant des contrats emplois verts, les pièces nécessaires à l'instruction de leur dossier. Tout se passait bien", commence par exposer Jerry Festin, référent emplois verts à La Région.
Il se trouve que ces fameuses pièces justificatives pour 24 bénéficiaires n'ont cette fois-ci pas été envoyées à temps en fin d'année dernière. "La collectivité régionale dispose d'un certain volume de contrats aidés qui vaut pour le premier semestre et un second volume pour le second semestre de l'année", détaille l'agent de la collectivité régionale. En l'absence des pièces obligatoires qu'aurait dû envoyer l'association, "on ne pouvait pas renouveler leur contrat sur le volume de ce 1er semestre 2014, car cela aurait pour effet d'évincer d'autres bénéficiaires", explique-t-il.
En somme, l'association s'est elle-même mise en faute l'année dernière en ratant le coche de la commission sectorielle à la Région. Le référent emplois verts parle également de relances effectuées par ses services vers l'association pour tenter d'obtenir les pièces manquantes dans les temps, rien n'y a fait.
Le président de cette association des Petits Tamponnais des Hauts Ruraux est Jean-Bernard Hoarau, adjoint au maire du Tampon et candidat des municipales. Sur ce point, "la Région n'a eu aucune considération politique dans cette gestion des emplois verts envers cette association", certifie Jerry Festin qui renvoie encore une fois l'association à sa mauvaise anticipation.
Jean Bernard Hoarau n'a pu être joint pour le moment.
Ces emplois verts, gérés par l'association des Petits Tamponnais des Hauts Ruraux, demandaient des explications à la Région suite au non renouvellement de leurs contrats, 24 sur les 34 que compte l'association.
Sollicitée, la Région éclaircit ce couac administratif qu'elle impute directement à la structure associative.
"Chaque année, avant le 31 décembre, cette association nous envoyait comme toutes les autres associations sollicitant des contrats emplois verts, les pièces nécessaires à l'instruction de leur dossier. Tout se passait bien", commence par exposer Jerry Festin, référent emplois verts à La Région.
Il se trouve que ces fameuses pièces justificatives pour 24 bénéficiaires n'ont cette fois-ci pas été envoyées à temps en fin d'année dernière. "La collectivité régionale dispose d'un certain volume de contrats aidés qui vaut pour le premier semestre et un second volume pour le second semestre de l'année", détaille l'agent de la collectivité régionale. En l'absence des pièces obligatoires qu'aurait dû envoyer l'association, "on ne pouvait pas renouveler leur contrat sur le volume de ce 1er semestre 2014, car cela aurait pour effet d'évincer d'autres bénéficiaires", explique-t-il.
En somme, l'association s'est elle-même mise en faute l'année dernière en ratant le coche de la commission sectorielle à la Région. Le référent emplois verts parle également de relances effectuées par ses services vers l'association pour tenter d'obtenir les pièces manquantes dans les temps, rien n'y a fait.
Le président de cette association des Petits Tamponnais des Hauts Ruraux est Jean-Bernard Hoarau, adjoint au maire du Tampon et candidat des municipales. Sur ce point, "la Région n'a eu aucune considération politique dans cette gestion des emplois verts envers cette association", certifie Jerry Festin qui renvoie encore une fois l'association à sa mauvaise anticipation.
Jean Bernard Hoarau n'a pu être joint pour le moment.