Maloyab, de son vrai nom Jimmy Corré, artiste défenseur de la nature et de l'identité réunionnaise comme il aime se présenter, a réalisé bénévolement un documentaire sur un sujet qui lui tient à coeur.
Ce film revient sur le problème de l'errance canine et féline dans notre île. Le but de Maloyab, faire prendre conscience des nuisances causées par la divagation des chiens et chats. Il ne cesse d'appeler à la responsabilisation des propriétaires concernant la stérilisation de leur animal.
Maloyab a mené à bien ce projet participatif dans lequel il fait intervenir plusieurs personnes. Elles s'expriment tour à tour, durant pas moins de deux heures où s'enchaînent interviews et réflexions du réalisateur.
Pour ou contre l'euthanasie ?
Il a souhaité élargir le panel des intervenants, avec à la fois des particuliers et des spécialistes tels que la SEOR, le Parc national, la CASUD ou encore le GEVEC (Groupement d’étude vétérinaire sur l’errance des carnivores) mais regrette que certaines invitations lancées auprès d'associatifs soient restées sans réponse.
Il lui aura fallu 1 an et demi de préparation pour livrer ce documentaire, "réalisé bénévolement et sans subvention", dit-il , et qui a pris encore plus de temps en raison du coronavirus. Maloyab met bien l’accent dans sa vidéo sur le but recherché, qui n’était pas de dénoncer qui que ce soit mais de faire prendre conscience à la population des nuisances que l'errance animale peut engendrer. Enfin, le réalisateur défend la pratique de l'euthanasie "afin de mettre un terme à l'errance - et donc à des souffrances - mais aussi pour épargner la vie de ses potentielles victimes que sont les oiseaux endémiques dévorés par les chats ou les piétons mordus par les chiens."
Ce film revient sur le problème de l'errance canine et féline dans notre île. Le but de Maloyab, faire prendre conscience des nuisances causées par la divagation des chiens et chats. Il ne cesse d'appeler à la responsabilisation des propriétaires concernant la stérilisation de leur animal.
Maloyab a mené à bien ce projet participatif dans lequel il fait intervenir plusieurs personnes. Elles s'expriment tour à tour, durant pas moins de deux heures où s'enchaînent interviews et réflexions du réalisateur.
Pour ou contre l'euthanasie ?
Il a souhaité élargir le panel des intervenants, avec à la fois des particuliers et des spécialistes tels que la SEOR, le Parc national, la CASUD ou encore le GEVEC (Groupement d’étude vétérinaire sur l’errance des carnivores) mais regrette que certaines invitations lancées auprès d'associatifs soient restées sans réponse.
Il lui aura fallu 1 an et demi de préparation pour livrer ce documentaire, "réalisé bénévolement et sans subvention", dit-il , et qui a pris encore plus de temps en raison du coronavirus. Maloyab met bien l’accent dans sa vidéo sur le but recherché, qui n’était pas de dénoncer qui que ce soit mais de faire prendre conscience à la population des nuisances que l'errance animale peut engendrer. Enfin, le réalisateur défend la pratique de l'euthanasie "afin de mettre un terme à l'errance - et donc à des souffrances - mais aussi pour épargner la vie de ses potentielles victimes que sont les oiseaux endémiques dévorés par les chats ou les piétons mordus par les chiens."