Avec un titre faisant référence à un poème de Paul Éluard, la réalisatrice Anais Charles-Dominique, ancienne journaliste, continue ici à s’intéresser à la société réunionnaise en développant plus particulièrement les thèmes de l’histoire, la culture, et tout ce qui fait l’identitaire réunionnais.
25 jours de tournage, de mai 2014 à août 2015, du Mozambique, au Danemark en passant bien évidemment par La Réunion, en suivant les traces du Maloya de deux artistes en pleine lumière: Christine Salem et Olivier Araste, leader du groupe Lindigo. "L’enjeux du film est à travers le succès international de deux artistes de Maloya, d’évoquer la quête de liberté, de liberté des consciences, cette fois de toute une frange de la population encore emprisonnée dans les carcans du passé".
Financé par France Télévisions et Canal + Réunion, le film sera diffusé le 15 Octobre sur Réunion Première.
25 jours de tournage, de mai 2014 à août 2015, du Mozambique, au Danemark en passant bien évidemment par La Réunion, en suivant les traces du Maloya de deux artistes en pleine lumière: Christine Salem et Olivier Araste, leader du groupe Lindigo. "L’enjeux du film est à travers le succès international de deux artistes de Maloya, d’évoquer la quête de liberté, de liberté des consciences, cette fois de toute une frange de la population encore emprisonnée dans les carcans du passé".
Financé par France Télévisions et Canal + Réunion, le film sera diffusé le 15 Octobre sur Réunion Première.