Revenir à la rubrique : Faits divers

Maison de passe à Saint-Jacques: Garde à vue prolongée

Dans l’affaire des maisons closes du quartier Saint-Jacques, hier soir, Mohamed Salim Rangila, son fils et trois membres du réseau étaient toujours en garde à vue à Malartic. Tous sont soupçonnés d’avoir joué un rôle dans un réseau de prostitution. Le principal concerné, Mohamed Salim Rangila est un commerçant tenant deux magasins de lingerie. Déjà […]

Ecrit par L.G – le jeudi 15 février 2018 à 07H36
Dans l’affaire des maisons closes du quartier Saint-Jacques, hier soir, Mohamed Salim Rangila, son fils et trois membres du réseau étaient toujours en garde à vue à Malartic.

Tous sont soupçonnés d’avoir joué un rôle dans un réseau de prostitution. Le principal concerné, Mohamed Salim Rangila est un commerçant tenant deux magasins de lingerie. Déjà condamné à deux reprises pour agressions sexuelles, il est bien connu de la justice.

L’enquête pour proxénétisme en bande organisée, menée par les policiers de la sûreté départementale, devrait déboucher sur une série de présentations devant la juge d’instruction dans le courant de la matinée.

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « La fin ne saurait justifier les moyens »

La procureure de la République Véronique Denizot a demandé la condamnation des 11 prévenus de l’affaire des emplois présumés illégaux de la Région, ce jeudi lors de la quatrième journée du procès, une peine de 5 ans d’inéligibilité étant notamment requise pour l’ancien président Didier Robert, visé pour prise illégale d’intérêts et détournement de fonds . L’actuelle mandature de la Région, partie civile du procès, a demandé un préjudice à hauteur de 1,5 million correspondant à la somme des salaires versés aux huit conseillers techniques poursuivis pour recel.

Soupçons d’emplois illégaux à la Région : « Nous étions des facilitateurs »

Au troisième jour du procès sur les emplois présumés fictifs à la Région sous les mandats de Didier Robert, six prévenus ont témoigné, affirmant leur engagement et leur innocence. Yves Ferrières, Sabrina Ramin, Yannick Gironcel, Jean-Charles Maroudé, Ravy Vellayoudom, et Yoland Velleyen ont décrit leurs rôles sans pour certains fournir cependant des détails concrets sur leurs missions. Le procès continue aujourd’hui avec les dépositions attendues de Vincent Bègue et Didier Robert et les réquisitions du parquet qui permettront sans doute d’en savoir plus sur ce qu’a révélé l’enquête menée par les policiers parisiens.