Maison de passe à Saint-Jacques: Garde à vue prolongée
Dans l’affaire des maisons closes du quartier Saint-Jacques, hier soir, Mohamed Salim Rangila, son fils et trois membres du réseau étaient toujours en garde à vue à Malartic. Tous sont soupçonnés d’avoir joué un rôle dans un réseau de prostitution. Le principal concerné, Mohamed Salim Rangila est un commerçant tenant deux magasins de lingerie. Déjà […]
Ecrit par L.G – le jeudi 15 février 2018 à 07H36
Dans l’affaire des maisons closes du quartier Saint-Jacques, hier soir, Mohamed Salim Rangila, son fils et trois membres du réseau étaient toujours en garde à vue à Malartic.
Tous sont soupçonnés d’avoir joué un rôle dans un réseau de prostitution. Le principal concerné, Mohamed Salim Rangila est un commerçant tenant deux magasins de lingerie. Déjà condamné à deux reprises pour agressions sexuelles, il est bien connu de la justice.
L’enquête pour proxénétisme en bande organisée, menée par les policiers de la sûreté départementale, devrait déboucher sur une série de présentations devant la juge d’instruction dans le courant de la matinée.