La Municipalité est à la fois surprise, peinée mais aussi affligée, que le Journal de l’île de La Réunion ne comprenne pas la signification de l’expression créole « ou lé en shalèr ». Il ne s’agit ni d’une expression sexiste ni d’une formule graveleuse mais tout simplement d’un terme créole qui signifie « tu es en colère ».
En effet, le Maire de Saint-Paul, Emmanuel SÉRAPHIN, et les élu·es du Conseil Municipal s’étonnent de l’article du Journal de l’île de La Réunion titré « Coup de chaud sur le conseil municipal » publié dans son édition du vendredi 28 octobre 2022.
Si l’élu avait été un homme, Monsieur le Maire aurait également employé la même expression. Cela nous interpelle d’autant plus que nous célébrons actuellement la Somèn kréol. C’est aussi regrettable de ne pas comprendre la langue créole quand l’on prétend vouloir relater la vie de la cité.
Merci au JIR de vouloir faire la police contre toute expression sexiste, mais attention à ne pas détourner le sens des mots et de voir du sexisme là où il n’y en a pas. Nous regrettons également que cette instrumentalisation serve à alimenter l’acharnement médiatique du Journal de l’île de La Réunion contre Saint-Paul.
En effet, le Maire de Saint-Paul, Emmanuel SÉRAPHIN, et les élu·es du Conseil Municipal s’étonnent de l’article du Journal de l’île de La Réunion titré « Coup de chaud sur le conseil municipal » publié dans son édition du vendredi 28 octobre 2022.
Si l’élu avait été un homme, Monsieur le Maire aurait également employé la même expression. Cela nous interpelle d’autant plus que nous célébrons actuellement la Somèn kréol. C’est aussi regrettable de ne pas comprendre la langue créole quand l’on prétend vouloir relater la vie de la cité.
Merci au JIR de vouloir faire la police contre toute expression sexiste, mais attention à ne pas détourner le sens des mots et de voir du sexisme là où il n’y en a pas. Nous regrettons également que cette instrumentalisation serve à alimenter l’acharnement médiatique du Journal de l’île de La Réunion contre Saint-Paul.