L’affaire "est le parfait exemple du harcèlement de rue", a souligné Me Amel Khlifi-Ethève, conseil de la partie civile. "Les victimes portent difficilement plainte parce que ce genre de faits sont souvent banalisés", a t-elle ajouté. Le 29 octobre 2019, Jean Simon, complètement ivre, s’est permis de caresser les fesses d’une adolescente de 13 ans dans la rue, non loin de la mairie annexe de la Ravine des Cabris.
L’homme a également fait l’objet d’une plainte classée sans suite pour tentative d’agression sexuelle en 2017. Deux mentions pour vol en réunion et violences sur mineur figurent à son casier.
"La société ne tolère plus ce genre de comportements", lui a rappelé la procureure. Jean Simon a écopé de 8 mois de sursis probatoire sur 24 mois avec exécution provisoire, d’une obligation de soin et de travailler. Son inscription au FIGAIS lui a également été signifié par le tribunal. A la victime et à sa représentante légale, constituées partie civile, il devra verser 800 euros.
L’homme a également fait l’objet d’une plainte classée sans suite pour tentative d’agression sexuelle en 2017. Deux mentions pour vol en réunion et violences sur mineur figurent à son casier.
"La société ne tolère plus ce genre de comportements", lui a rappelé la procureure. Jean Simon a écopé de 8 mois de sursis probatoire sur 24 mois avec exécution provisoire, d’une obligation de soin et de travailler. Son inscription au FIGAIS lui a également été signifié par le tribunal. A la victime et à sa représentante légale, constituées partie civile, il devra verser 800 euros.