
Photo matin-mada.com
Le corps sans vie d’une étudiante de 16 ans, en troisième année de sociologie, a été retrouvé sur le campus de Tananarive à Madagascar.
Ses vêtements étaient déchirés et son pantalon baissé. Son corps gisait au cœur d’une végétation touffue de ronces et à quelques centaines de mètres d’un bâtiment de l’université.
Les premiers éléments de l’enquête privilégient la thèse d’une tentative de viol suivie d’un homicide. La victime se serait débattue et pour étouffer ses cris, le ou les agresseurs l’ont étranglée selon les hypothèses avancées par la police.
Le crime remonterait à cinq jours environ. Sa disparition date de vendredi après-midi où la victime passait des épreuves pour accéder à sa quatrième année de cycle universitaire.
La jeune étudiante, après avoir décroché son baccalauréat à 13 ans, comptait parmi les plus brillantes élèves du campus de Tananarive.
Ses vêtements étaient déchirés et son pantalon baissé. Son corps gisait au cœur d’une végétation touffue de ronces et à quelques centaines de mètres d’un bâtiment de l’université.
Les premiers éléments de l’enquête privilégient la thèse d’une tentative de viol suivie d’un homicide. La victime se serait débattue et pour étouffer ses cris, le ou les agresseurs l’ont étranglée selon les hypothèses avancées par la police.
Le crime remonterait à cinq jours environ. Sa disparition date de vendredi après-midi où la victime passait des épreuves pour accéder à sa quatrième année de cycle universitaire.
La jeune étudiante, après avoir décroché son baccalauréat à 13 ans, comptait parmi les plus brillantes élèves du campus de Tananarive.