
Après un temps de réflexion, le président de la Transition, Andry Rajoelina, a accordé à la femme de l'ancien président Ravalomanana, le droit de rentrer au pays pour être au chevet de sa mère, actuellement souffrante.
Un retour "sous conditions" comme l'a expliqué Andry Rajoelina, en visite hier à Toliara suite au passage d'Haruna. "Je demande tout simplement à ce que la visite de l’épouse de l’ancien président ne soit pas politiquement instrumentalisée. Que ce soit une visite purement humanitaire", a-t-il déclaré.
Selon certaines indiscrétions, Il a été intimé à Lalao Ravalomanana de ne faire aucune déclaration politique et de ne pas participer à une manifestation politique. Elle devra également retourner en Afrique du Sud après le rétablissement de sa mère.
Andry Rajoelina n'a pas manqué l'occasion de critiquer le mari de cette dernière. "L'ancien régime avait empêché (des exilés politiques) de revenir au pays pour enterrer les membres de leur famille, de visiter ceux qui sont malades à cause des divergences politiques", déclare le président de la Transition.
Du côté du clan Ravalomanana, on reste prudents face à cette situation. "Nous ne faisons aucun commentaire", indique Hanitra Razafimanantsoa, qui assure l'intérim de Mamy Rakotoarivelo, président du Congrès et chef de délégation de ladite mouvance, en mission à l'extérieur.
Un retour "sous conditions" comme l'a expliqué Andry Rajoelina, en visite hier à Toliara suite au passage d'Haruna. "Je demande tout simplement à ce que la visite de l’épouse de l’ancien président ne soit pas politiquement instrumentalisée. Que ce soit une visite purement humanitaire", a-t-il déclaré.
Selon certaines indiscrétions, Il a été intimé à Lalao Ravalomanana de ne faire aucune déclaration politique et de ne pas participer à une manifestation politique. Elle devra également retourner en Afrique du Sud après le rétablissement de sa mère.
Andry Rajoelina n'a pas manqué l'occasion de critiquer le mari de cette dernière. "L'ancien régime avait empêché (des exilés politiques) de revenir au pays pour enterrer les membres de leur famille, de visiter ceux qui sont malades à cause des divergences politiques", déclare le président de la Transition.
Du côté du clan Ravalomanana, on reste prudents face à cette situation. "Nous ne faisons aucun commentaire", indique Hanitra Razafimanantsoa, qui assure l'intérim de Mamy Rakotoarivelo, président du Congrès et chef de délégation de ladite mouvance, en mission à l'extérieur.