
Alors que la mouvance d'Andry Rajoelina avait interprété l'invitation de leur leader par l'ONU le mardi 22 septembre dernier dans le cadre d'une conférence sur les enjeux climatiques, comme un début de reconnaissance de son autorité, ce fut surtout l'occasion de se rendre compte qu'un certain nombre de pays membres de l'ONU ne reconnait toujours pas sa présidence.
Il n'y a pas que les pays de la SADC qui ont voté contre Andry Rajeolina à l'assemblée générale des Nations Unies, écrit Topmada. Plusieurs pays de l'Amérique latine tels que le Vénézuela, le Brésil, l'Argentine, la Bolivie ont également voté contre la prise de parole du président de la Haute autorité de transition de Madagascar. L'Inde, le Canada, les Seychelles, certains pays asiatiques et un pays de l'Amérique du Nord ont eux aussi voté contre. Seul le Danemark, l'Equateur et la Jamaïque ont voté pour sa prise de parole.
Même si Andry Rajoelina, dit aussi TGV, s'est imposé comme le président du Gouvernement de transition, il a toujours du mal a faire reconnaître son autorité auprès de la communauté internationale, qui continue a condamner sa prise de pouvoir interprétée comme un putsch.
Le régime de transition semble devenir un régime à part entière, pour une durée indéterminée écrit Sobika.com, réputé proche du président Rajaolina, alors qu'il a été question d'organiser l'élection d'un nouveau Gouvernement avant la fin de l'année.
Il n'y a pas que les pays de la SADC qui ont voté contre Andry Rajeolina à l'assemblée générale des Nations Unies, écrit Topmada. Plusieurs pays de l'Amérique latine tels que le Vénézuela, le Brésil, l'Argentine, la Bolivie ont également voté contre la prise de parole du président de la Haute autorité de transition de Madagascar. L'Inde, le Canada, les Seychelles, certains pays asiatiques et un pays de l'Amérique du Nord ont eux aussi voté contre. Seul le Danemark, l'Equateur et la Jamaïque ont voté pour sa prise de parole.
Même si Andry Rajoelina, dit aussi TGV, s'est imposé comme le président du Gouvernement de transition, il a toujours du mal a faire reconnaître son autorité auprès de la communauté internationale, qui continue a condamner sa prise de pouvoir interprétée comme un putsch.
Le régime de transition semble devenir un régime à part entière, pour une durée indéterminée écrit Sobika.com, réputé proche du président Rajaolina, alors qu'il a été question d'organiser l'élection d'un nouveau Gouvernement avant la fin de l'année.