Destitué par le gouvernement, Andry Rajoelina a nommé une de ses proches collaboratrices, Michèle Ratsivalaka, à la mairie de Tananarive. La situation reste donc confuse à Madagascar et dans ce contexte les forces françaises de la zone sud de l'Océan indien se tiennent prêtes à intervenir à tout moment.
Ecrit par Melanie Roddier – le jeudi 05 février 2009 à 16H11
Vigilance renforcée. C’est le mot d’ordre qui règne actuellement chez les FAZSOI (Forces Armées de la Zone Sud de l’Océan Indien) au regard de la situation de crise politique que traverse la Grande île. L’un des objectifs consiste à protéger et évacuer les ressortissants français et autres nationalités en cas d’aggravation sur place. Rappelons que près de 20 000 ressortissants français vivent en ce moment à Madagascar. Il y a deux jours, le secrétaire d’Etat à la coopération, Alain Joyandet, déclarait que la France a prévu de mobiliser « des moyens et de renforcer notre ambassade« , sans plus de précisions. L’armée française restera en alerte tant que la situation politique toujours précaire dans la Grande île ne reviendra pas à la normale.
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La Commission de l’océan Indien a organisé une consultation nationale sur la sécurité portuaire et la sûreté de la navigation à Madagascar. Accueillie par le ministère des Affaires étrangères, cette consultation a notamment permis de définir des mesures concrètes afin d’améliorer la surveillance maritime et renforcer la collaboration entre les pays de la région. En présence de six ministres, les équipes de la COI ont pu instaurer une compréhension complète des progrès et des défis dans la mise en œuvre des activités du PSP.
SpaceX se prépare au troisième test en vol de Starship. Le lancement de la méga-fusée est prévu ce jeudi à 15h30 (heure Réunion). Après un vol de 90 minutes, le géant américain prévoit un amerrissage dans le sud de l’océan Indien.
Salime Mdéré était jugé pour avoir déclaré en direct sur une chaîne de télévision publique mahoraise « Il faut peut-être en tuer » au sujet des délinquants qui affrontaient la police lors de l’opération Wuambushu. Trois mois de prison avec sursis et 5.000 euros d’amende avaient été requis. Le tribunal a décidé d’aller au-delà des réquisitions et le condamner à trois mois de prison et 10.000 euros d’amende pour provocation publique.
À l’origine imaginée pour sanctuariser la zone et empêcher le retour de la population déportée il y a cinquante ans, le projet d’aire maritime protégée britannique dans l’archipel des Chagos inclut désormais un espace dédié à l’habitat, sur les îles de Peros Banhos et Salomon. De quoi nourrir l’espoir d’un retour au pays pour les quelque 500 Chagossiens encore vivants, qui rêvent d’y séjourner et d’y mourir en paix.