
Soupçonnés d’avoir préparé un coup d'État contre le président Andry Rajoelina, 20 accusés sont jugés pour atteinte à la sûreté de l'État, association de malfaiteurs et complot en vue d'assassiner le président. Lors du procès, l’accusation a requis la réclusion a perpétuité contre cinq des 20 suspects dont deux Français, l'ancien colonel de l'armée française Philippe François et le Franco-malgache Paul Rafanoharana, comme l’annoncent nos confrères du Figaro.
Pour l’accusation, il n’y a guère de doute sur leur culpabilité et sur la véracité du projet baptisé Apollo 21. "Si vous avez suivi ce procès depuis le début, vous aurez pu remarquer les mensonges et les pièces qui ne collent pas", a avancé le procureur général Arsène Rabe. "Grâce à des mails, des armes et l’argent" découverts lors des perquisitions, la culpabilité des accusés est évidente pour le parquet.
De son côté, la défense a rappelé que les liens entre les différents protagonistes n’étaient pas clairement établis et que la présomption d’innocence n’avait pas respectée, suite à de nombreuses fuites dans la presse. Le procès se poursuit aujourd’hui et devrait être clos dans la foulée.
Pour l’accusation, il n’y a guère de doute sur leur culpabilité et sur la véracité du projet baptisé Apollo 21. "Si vous avez suivi ce procès depuis le début, vous aurez pu remarquer les mensonges et les pièces qui ne collent pas", a avancé le procureur général Arsène Rabe. "Grâce à des mails, des armes et l’argent" découverts lors des perquisitions, la culpabilité des accusés est évidente pour le parquet.
De son côté, la défense a rappelé que les liens entre les différents protagonistes n’étaient pas clairement établis et que la présomption d’innocence n’avait pas respectée, suite à de nombreuses fuites dans la presse. Le procès se poursuit aujourd’hui et devrait être clos dans la foulée.