Une étude de septembre 2014 avait révélé qu’environ 36.000 hectares de forêts entre 2005 et 2010 avaient été annuellement détruits dans le sillage de la déforestation, notamment des forêts de basse altitude comme pour les régions d’Atsimo Andrefana et de Menabe, les plus touchées.
Les forêts sèches et épineuses de la Grande Ile demeurent également plus menacées que les forêts humides. Cultures sur brûlis, appelés localement tavy, et production de charbon de bois ont ainsi décimé sur une vaste superficie le poumon écologique de Madagascar.